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Critique de CamilleBook
Et voilà, le Seigneur des Anneaux m'aura accompagné tout au long de cette année et c'est presque avec une pointe de nostalgie que je referme les dernières pages de la très belle édition de chez Harper Collins.
Il me restera les nombreux Appendices à lire ultérieurement. Une façon de retourner une nouvelle fois en Terre du Milieu et en apprendre toujours plus sur l'univers, son Histoire, ses langues et sa généalogie.
Fin, donc, de la saga entamée il y a 9 mois. Lecture parfois ardue en version originale mais cet anglais magnifique ne permet que d'apprécier encore plus le style de Tolkien et la richesse de son oeuvre.
Comme dans les Deux Tours, ce dernier tome est composé de deux grandes parties (trois si on prend en compte la conclusion).
Dans la première on est plongé dans le siège de Minas Tirith, la Cité Blanche du Gondor et la Bataille des Champs du Pelennor. Tandis que Gandalf, avec l'aide de Pippin, tente de faire revenir l'Intendant du Gondor à la raison et de mobiliser les troupes gondoriennes en vue de la bataille qui s'annonce, les armées du Rohan, menées par le roi Théoden arrivent à la rescousse.
Dans la deuxième partie, Frodon, prisonnier dans la tour de Cirith Ungol, et le fidèle Samwise, vont enfin arriver en terre du Mordor et se préparent à entamer la dernière étape de leur périple. S'infiltrer jusqu'au coeur de l'Orodruin, la Montagne du Destin qui servit à forger l'Anneau Unique et qui doit maintenant servir à sa destruction.
Et enfin le final, avec le nettoyage de la Comté, toute une partie oubliée des films dans laquelle nos quatre Hobbits livrent une ultime bataille contre Saruman, et enfin le départ vers les Havres Gris pour un repos bien mérité.
J'ai pris mon temps. Je connaissais déjà l'histoire par coeur grâce à la sublime trilogie de Peter Jackson et j'ai dégusté le roman avec un grand plaisir. J'ai autant apprécié lire des phrases et des dialogues repris à l'identique dans les films qu'à découvrir les scènes, les lieux et les détails qui n'y apparaissent pas. L'évolution des personnages est également bien plus marquée alors qu'ils gagnent en maturité au fur et à mesure des épreuves traversées. La solennité d'Aragorn ou la (presque) sagesse des facétieux Merry et Pippin contrastent avec leurs personnalités du début de l'aventure.
Le dénouement est très long, à l'image de la saga, et c'est avec un sentiment de nostalgie que l'on quitte la Terre du Milieu et nos héros, qualifiés comme tels par l'ensemble des peuples libérés de la menace de Sauron, qui auront été marqués à vie par la Guerre de l'Anneau.
Une oeuvre très complète et magnifiquement écrite que je relirai forcément un jour ou l'autre.
Il me restera les nombreux Appendices à lire ultérieurement. Une façon de retourner une nouvelle fois en Terre du Milieu et en apprendre toujours plus sur l'univers, son Histoire, ses langues et sa généalogie.
Fin, donc, de la saga entamée il y a 9 mois. Lecture parfois ardue en version originale mais cet anglais magnifique ne permet que d'apprécier encore plus le style de Tolkien et la richesse de son oeuvre.
Comme dans les Deux Tours, ce dernier tome est composé de deux grandes parties (trois si on prend en compte la conclusion).
Dans la première on est plongé dans le siège de Minas Tirith, la Cité Blanche du Gondor et la Bataille des Champs du Pelennor. Tandis que Gandalf, avec l'aide de Pippin, tente de faire revenir l'Intendant du Gondor à la raison et de mobiliser les troupes gondoriennes en vue de la bataille qui s'annonce, les armées du Rohan, menées par le roi Théoden arrivent à la rescousse.
Dans la deuxième partie, Frodon, prisonnier dans la tour de Cirith Ungol, et le fidèle Samwise, vont enfin arriver en terre du Mordor et se préparent à entamer la dernière étape de leur périple. S'infiltrer jusqu'au coeur de l'Orodruin, la Montagne du Destin qui servit à forger l'Anneau Unique et qui doit maintenant servir à sa destruction.
Et enfin le final, avec le nettoyage de la Comté, toute une partie oubliée des films dans laquelle nos quatre Hobbits livrent une ultime bataille contre Saruman, et enfin le départ vers les Havres Gris pour un repos bien mérité.
J'ai pris mon temps. Je connaissais déjà l'histoire par coeur grâce à la sublime trilogie de Peter Jackson et j'ai dégusté le roman avec un grand plaisir. J'ai autant apprécié lire des phrases et des dialogues repris à l'identique dans les films qu'à découvrir les scènes, les lieux et les détails qui n'y apparaissent pas. L'évolution des personnages est également bien plus marquée alors qu'ils gagnent en maturité au fur et à mesure des épreuves traversées. La solennité d'Aragorn ou la (presque) sagesse des facétieux Merry et Pippin contrastent avec leurs personnalités du début de l'aventure.
Le dénouement est très long, à l'image de la saga, et c'est avec un sentiment de nostalgie que l'on quitte la Terre du Milieu et nos héros, qualifiés comme tels par l'ensemble des peuples libérés de la menace de Sauron, qui auront été marqués à vie par la Guerre de l'Anneau.
Une oeuvre très complète et magnifiquement écrite que je relirai forcément un jour ou l'autre.
