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Critique de Mero
Je reste dubitatif après la lecture de ce manga qui avait tout pour me plaire grâce à son univers : le mythe du vampire revisité à une époque moderne dans un huis-clos psychologique intense.
Il faut dire que le dessin de Kei Toume est très plaisant, il s'améliore avec les tomes et rend la lecture agréable tout en basant l'intrigue sur le destin tragique de la famille Takashiro et de la mystérieuse Chizuna.
L'auteur nous confie dans l'entrevue paru à la fin du dernier tome que sa motivation première pour Les lamentations de l'agneau était de pouvoir réaliser des kimonos et des vieilles maisons japonaises.
Effectivement, on voit beaucoup de kimonos et une vieille demeure japonaise déssinés sous tous les angles... et c'est bien la seule chose que j'en aurais retenu au final.
Il faut dire que le dessin de Kei Toume est très plaisant, il s'améliore avec les tomes et rend la lecture agréable tout en basant l'intrigue sur le destin tragique de la famille Takashiro et de la mystérieuse Chizuna.
L'auteur nous confie dans l'entrevue paru à la fin du dernier tome que sa motivation première pour Les lamentations de l'agneau était de pouvoir réaliser des kimonos et des vieilles maisons japonaises.
Effectivement, on voit beaucoup de kimonos et une vieille demeure japonaise déssinés sous tous les angles... et c'est bien la seule chose que j'en aurais retenu au final.
