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Critique de Iboo
J'avais vraiment envie de lire ce livre, peut-être trop...
Le premier tiers m'a enthousiasmée, les deux autres ont été lus en partie avec un ennui abyssal quand ce n'était pas en diagonale !
Histoire que vous vous fassiez une petite idée, je me permets de citer deux passages édifiants puisqu'ils constituent l'essentiel du livre :
".......et je t'aime de m'aimer malgré moi comme j'aime jusqu'à la folie ce silence qui me tue, bien malgré moi. Et les hommes autour m'exaspèrent les uns après les autres, et le Monde m'exaspère, je suis posé à côté de la rigole et des rires, dans un caniveau qui n'existe pas."
"Ce qu'est un écrivain. Je suis un corps seul et malheureux avec mon âme qui frappe sans fin dans le vide, personne n'ouvre jamais, personne n'ouvrira jamais. C'est écrit parce que je l'écris. On ne peut pas m'aimer, ou on m'aime sans pouvoir m'aimer et ce sera ainsi, toujours et encore."
Séduisant comme style d'écriture mais je peux vous assurer que l'idée décortiquée sur 462 pages est, comment dire... indigeste !
J'ai eu le sentiment d'être le témoin d'une masturbation intellectuelle besogneuse.
C'est définitif, je n'adhère vraiment pas au discours égocentrique et méprisant de ces gens qui n'ont d'autre préoccupation dans l'existence que leur ego blessé et cette propension à se sentir incompris.
Le premier tiers m'a enthousiasmée, les deux autres ont été lus en partie avec un ennui abyssal quand ce n'était pas en diagonale !
Histoire que vous vous fassiez une petite idée, je me permets de citer deux passages édifiants puisqu'ils constituent l'essentiel du livre :
".......et je t'aime de m'aimer malgré moi comme j'aime jusqu'à la folie ce silence qui me tue, bien malgré moi. Et les hommes autour m'exaspèrent les uns après les autres, et le Monde m'exaspère, je suis posé à côté de la rigole et des rires, dans un caniveau qui n'existe pas."
"Ce qu'est un écrivain. Je suis un corps seul et malheureux avec mon âme qui frappe sans fin dans le vide, personne n'ouvre jamais, personne n'ouvrira jamais. C'est écrit parce que je l'écris. On ne peut pas m'aimer, ou on m'aime sans pouvoir m'aimer et ce sera ainsi, toujours et encore."
Séduisant comme style d'écriture mais je peux vous assurer que l'idée décortiquée sur 462 pages est, comment dire... indigeste !
J'ai eu le sentiment d'être le témoin d'une masturbation intellectuelle besogneuse.
C'est définitif, je n'adhère vraiment pas au discours égocentrique et méprisant de ces gens qui n'ont d'autre préoccupation dans l'existence que leur ego blessé et cette propension à se sentir incompris.
