>
Critique de Khalya
Éléonore et Cassiopée sont des jumelles identiques. Identiques physiquement, oui, mais très différentes psychologiquement.
Cassiopée est une jeune fille qui a tout réussi, tandis qu'Eléonore est prise dans une vraie spirale de l'échec.
Pour l'aider à réussir une année qu'elle redouble, son père engage un tuteur.
Ce dernier, Quentin, se rend vite compte qu'Eléonore est au bord du gouffre.
En plus d'un manque total de confiance en elle, la jeune fille est prise entre une soeur citée comme parfaite, un père absent, obsédé par son travail et une mère qui fait tout pour la rabaisser et la détruire.
Son seul véritable soutien, son grand-père paternel, est mort d'une rupture d'anévrisme l'année précédente.
Éléonore est à la dérive et la haine de sa mère à son égard est incompréhensible aussi bien pour elle que pour nous, lecteurs. Car à ce niveau-là, on peut vraiment parler de haine. Ce n'est pas une mère maladroite ou un peu trop exigeante, c'est réellement une femme haineuse qui fait tout pour détruire sa fille à petit feu. On ne peut que détester cette femme.
Pour le père, c'est différent. S'il apparaît à plusieurs reprises comme distant et injuste, lui, est plus maladroit dans sa façon de faire que toxique.
J'ai beaucoup aimé Betiana, la nouvelle copine que se fait Éléonore en classe, un peu malgré elle, et sa détermination à percer la carapace de la jeune fille.
Mais les deux personnages que j'ai préférés sont Quentin (pour des raisons qui seront évidentes à quiconque lira ce livre) et Timothée, un jeune homme handicapé (trisomie 21 peut-être) qui est si ouvert et spontané et qui agit sans la moindre arrière-pensée.
Bien entendu, Éléonore va devoir trouver en elle la force de se relever mais pour cela, le fait de trouver de l'appuie dans son entourage a été primordial (primordial, certes, mais pas exclusif).
Cassiopée est une jeune fille qui a tout réussi, tandis qu'Eléonore est prise dans une vraie spirale de l'échec.
Pour l'aider à réussir une année qu'elle redouble, son père engage un tuteur.
Ce dernier, Quentin, se rend vite compte qu'Eléonore est au bord du gouffre.
En plus d'un manque total de confiance en elle, la jeune fille est prise entre une soeur citée comme parfaite, un père absent, obsédé par son travail et une mère qui fait tout pour la rabaisser et la détruire.
Son seul véritable soutien, son grand-père paternel, est mort d'une rupture d'anévrisme l'année précédente.
Éléonore est à la dérive et la haine de sa mère à son égard est incompréhensible aussi bien pour elle que pour nous, lecteurs. Car à ce niveau-là, on peut vraiment parler de haine. Ce n'est pas une mère maladroite ou un peu trop exigeante, c'est réellement une femme haineuse qui fait tout pour détruire sa fille à petit feu. On ne peut que détester cette femme.
Pour le père, c'est différent. S'il apparaît à plusieurs reprises comme distant et injuste, lui, est plus maladroit dans sa façon de faire que toxique.
J'ai beaucoup aimé Betiana, la nouvelle copine que se fait Éléonore en classe, un peu malgré elle, et sa détermination à percer la carapace de la jeune fille.
Mais les deux personnages que j'ai préférés sont Quentin (pour des raisons qui seront évidentes à quiconque lira ce livre) et Timothée, un jeune homme handicapé (trisomie 21 peut-être) qui est si ouvert et spontané et qui agit sans la moindre arrière-pensée.
Bien entendu, Éléonore va devoir trouver en elle la force de se relever mais pour cela, le fait de trouver de l'appuie dans son entourage a été primordial (primordial, certes, mais pas exclusif).
