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Critique de SoleilBouquine09
Un ouvrage magnifiquement écrit sur ce diptyque de Gérard David en 1498.
Francis Toulouse a su, en quelques pages, me bercer avec son imagination, ses métaphores et son analyse historique et picturale.
Amoureuse de l'art et fascinée par la cruauté de ces tableaux solennellement figés dans le temps, j'ai pris plaisir à savourer ce petit bout d'injustice, de partialité et de corruption qui a conduit ce juge au supplice.
Mais si je devais émettre un petit bémol, c'est que l'imagination de l'auteur prend trop le dessus sur l'analyse des tableaux et les faits historiques. Je ne doute pas que le travail d'un historien est phénoménal, peut-être que nous n'en savons pas tant que ça sur l'histoire de ces tableaux ? J'aurai aimé en savoir plus sur Cambyse II par exemple, qui est tout de même le roi sanguinaire qui prononce ce jugement et l'écorchement.
Malgré tout, j'ai beaucoup appris !
Je vais finir ma critique sur un proverbe français : "Qui sème l'injustice moissonne le malheur".
Francis Toulouse a su, en quelques pages, me bercer avec son imagination, ses métaphores et son analyse historique et picturale.
Amoureuse de l'art et fascinée par la cruauté de ces tableaux solennellement figés dans le temps, j'ai pris plaisir à savourer ce petit bout d'injustice, de partialité et de corruption qui a conduit ce juge au supplice.
Mais si je devais émettre un petit bémol, c'est que l'imagination de l'auteur prend trop le dessus sur l'analyse des tableaux et les faits historiques. Je ne doute pas que le travail d'un historien est phénoménal, peut-être que nous n'en savons pas tant que ça sur l'histoire de ces tableaux ? J'aurai aimé en savoir plus sur Cambyse II par exemple, qui est tout de même le roi sanguinaire qui prononce ce jugement et l'écorchement.
Malgré tout, j'ai beaucoup appris !
Je vais finir ma critique sur un proverbe français : "Qui sème l'injustice moissonne le malheur".
