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Critique de Nordiska
Un jour, Annabelle décide de partir vivre loin de tout, dans une maison isolée sur une île où l'hiver est rude. Dans cet endroit coupé du monde, elle va alors se rendre compte que la forêt d'Utoh qui borde sa maison cache plus de secrets qu'elle ne le pensait.
Je ne vais pas y aller par quatre chemins: malgré un résumé qui paraissait pourtant prometteur, j'ai été déçue par ce livre. J'ai trouvé que l'histoire était plate, qu'il n'y avait pas vraiment d'histoire en fait. Je n'ai honnêtement pas compris où l'auteure voulait nous emmener. Il ne se passe pas grand chose. On comprend vaguement que la forêt abrite des humains pouvant se changer en animal et qu'Annabelle, l'héroïne, a également des pouvoirs. Quel était le but de l'histoire? Parce qu'avoir des humains avec des pouvoirs, c'est bien, mais encore faut-il qu'il se passe quelque chose.
Quelques autres petites choses m'ont fait tiquer, notamment liées au personnage de Lucas. En règle générale, j'ai du mal avec les personnages colériques, qui jettent leur mal-être sur les autres. Alors oui, il en faut mais un personnage colérique qui se noit dans l'alcool pour se sentir mieux (banalisation de l'alcoolisme, bonjour!) et qui utilise les femmes (sauf une) comme des objets pour se soulager... bon. Voilà quoi, mon côté féministe a été un peu révolté. Faut dire que le personnage de Nora n'aide pas non plus.
En fait, les personnages ont tous un côté vraiment sombre, mais vraiment, et plus de défauts et problèmes que de bonnes choses. C'est assez perturbant comme principe.
Quelques points sont quand même positifs: l'histoire d'amour trop mignonne entre deux personnages un peu torturés et qui ont besoin l'un de l'autre. Mais elle a commencé trop rapidement, ce qui a gaché la crédibilité de leur histoire.
J'ai beaucoup aimé la proximité que ce roman avec la nature et l'idée qu'il faut la préserver (avec la démarché écologique de la scierie, par exemple.
Dommage, l'idée avait du potentiel...
Lien : https://resandeuttern.blogsp..
Je ne vais pas y aller par quatre chemins: malgré un résumé qui paraissait pourtant prometteur, j'ai été déçue par ce livre. J'ai trouvé que l'histoire était plate, qu'il n'y avait pas vraiment d'histoire en fait. Je n'ai honnêtement pas compris où l'auteure voulait nous emmener. Il ne se passe pas grand chose. On comprend vaguement que la forêt abrite des humains pouvant se changer en animal et qu'Annabelle, l'héroïne, a également des pouvoirs. Quel était le but de l'histoire? Parce qu'avoir des humains avec des pouvoirs, c'est bien, mais encore faut-il qu'il se passe quelque chose.
Quelques autres petites choses m'ont fait tiquer, notamment liées au personnage de Lucas. En règle générale, j'ai du mal avec les personnages colériques, qui jettent leur mal-être sur les autres. Alors oui, il en faut mais un personnage colérique qui se noit dans l'alcool pour se sentir mieux (banalisation de l'alcoolisme, bonjour!) et qui utilise les femmes (sauf une) comme des objets pour se soulager... bon. Voilà quoi, mon côté féministe a été un peu révolté. Faut dire que le personnage de Nora n'aide pas non plus.
En fait, les personnages ont tous un côté vraiment sombre, mais vraiment, et plus de défauts et problèmes que de bonnes choses. C'est assez perturbant comme principe.
Quelques points sont quand même positifs: l'histoire d'amour trop mignonne entre deux personnages un peu torturés et qui ont besoin l'un de l'autre. Mais elle a commencé trop rapidement, ce qui a gaché la crédibilité de leur histoire.
J'ai beaucoup aimé la proximité que ce roman avec la nature et l'idée qu'il faut la préserver (avec la démarché écologique de la scierie, par exemple.
Dommage, l'idée avait du potentiel...
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