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Critique de Redsreadings
L'année dernière, j'avais beaucoup entendu parler de ce titre, une bonne partie de mes amies étant sous le charme de l'animé, mais bizarrement je n'avais pas été hyppé au point de vouloir me lancer dans le drama. Il faut dire que regarder une série est pour moi délicat comme je ne tiens pas en place. C'est pourquoi quand j'ai vu qu'Akata le sortait en manga, je me suis dit que c'était le moment parfait pour enfin découvrir cette oeuvre.
Et pour le coup, je n'ai pas été déçu, même si je dois admettre que certains points m'ont légèrement laissé dubitatif.
On va commencer par l'histoire de base. Personnellement, j'aime bien les histoires qui se déroulent dans le milieu du travail donc comme là il s'agit de deux hommes, dans la trentaine – youpi ça change des petits jeunots au lycée ou à la fac – et dont l'un en plus est puceau – double youpi mon amour pour les gay virgin est en ébullition – tout était présent pour faire un titre pouvant me plaire.
Et pour le coup l'histoire m'a bien charmé, avec Adachi, ce jeune trentenaire, mignon, mais hyper timide, qui découvre en passant le cap de la trentaine qu'il peut entendre les pensées de son entourage ; et Kurosawa, son collègue qui en pince pour lui sévèrement. Franchement c'est super mignon, car pour le coup, on a le double point de vue de chaque situation. On a le point de vue d'Adachi, mais comme les pensées sont transcrites, bah on aussi le point de vue des autres personnages, et ça change les réactions de Adachi et amène toute une série de quiproquo et petites scènes drôles.
J'ai donc passé un bon moment avec ce titre, par contre, petite déception, on a que 3 chapitres je crois, dans ce tome 1. le restant c'est des scènes bonus, un chapitre du point de vue de Kurosawa et une petite « nouvelle » sur l'un des (seul) amis de Adachi, lui aussi puceau, qui du jour au lendemain passe la trentaine et rencontre un petit livreur.
Alors c'est sympa, car ça donne l'occasion de découvrir l'histoire et le point de vue d'autres personnages, mais en point négatif, bah on n'a que très peu de contenu sur l'histoire principale. Ça doit représenter genre 50% du titre principal et 50% du reste. Ça n'en retire pas l'intérêt du manga et personnellement, j'ai bien aimé les contenus supplémentaires, mais pour ceux qui veulent uniquement l'histoire de Adachi et Kurosawa, ils vont se sentir un peu biaisés.
Je finirai par parler des dessins. Ils sont vraiment sympathiques. J'avais un peu peur comme le titre est assez ancien que l'on ait le même sentiment qu'avec junju Romantica, mais non, le trait est simple, mais gracieux. Les personnages ne sont pas trop carrés. Il y a de la finesse et de jolies émotions sur les visages. Mon seul petit hic, c'est pour les personnages de ¾ avec des mèches de devant bah on a qu'un seul oeil. Mais bon on va dire que ça fait partie du style de la mangaka.
Au final Cherry magic est un petit titre plein de fraicheur et d'humour qui se laisse lire bien et très rapidement. J'ai hâte de lire la suite en tout cas qui si je ne me trompe pas devrait débarquer début novembre.
Et pour le coup, je n'ai pas été déçu, même si je dois admettre que certains points m'ont légèrement laissé dubitatif.
On va commencer par l'histoire de base. Personnellement, j'aime bien les histoires qui se déroulent dans le milieu du travail donc comme là il s'agit de deux hommes, dans la trentaine – youpi ça change des petits jeunots au lycée ou à la fac – et dont l'un en plus est puceau – double youpi mon amour pour les gay virgin est en ébullition – tout était présent pour faire un titre pouvant me plaire.
Et pour le coup l'histoire m'a bien charmé, avec Adachi, ce jeune trentenaire, mignon, mais hyper timide, qui découvre en passant le cap de la trentaine qu'il peut entendre les pensées de son entourage ; et Kurosawa, son collègue qui en pince pour lui sévèrement. Franchement c'est super mignon, car pour le coup, on a le double point de vue de chaque situation. On a le point de vue d'Adachi, mais comme les pensées sont transcrites, bah on aussi le point de vue des autres personnages, et ça change les réactions de Adachi et amène toute une série de quiproquo et petites scènes drôles.
J'ai donc passé un bon moment avec ce titre, par contre, petite déception, on a que 3 chapitres je crois, dans ce tome 1. le restant c'est des scènes bonus, un chapitre du point de vue de Kurosawa et une petite « nouvelle » sur l'un des (seul) amis de Adachi, lui aussi puceau, qui du jour au lendemain passe la trentaine et rencontre un petit livreur.
Alors c'est sympa, car ça donne l'occasion de découvrir l'histoire et le point de vue d'autres personnages, mais en point négatif, bah on n'a que très peu de contenu sur l'histoire principale. Ça doit représenter genre 50% du titre principal et 50% du reste. Ça n'en retire pas l'intérêt du manga et personnellement, j'ai bien aimé les contenus supplémentaires, mais pour ceux qui veulent uniquement l'histoire de Adachi et Kurosawa, ils vont se sentir un peu biaisés.
Je finirai par parler des dessins. Ils sont vraiment sympathiques. J'avais un peu peur comme le titre est assez ancien que l'on ait le même sentiment qu'avec junju Romantica, mais non, le trait est simple, mais gracieux. Les personnages ne sont pas trop carrés. Il y a de la finesse et de jolies émotions sur les visages. Mon seul petit hic, c'est pour les personnages de ¾ avec des mèches de devant bah on a qu'un seul oeil. Mais bon on va dire que ça fait partie du style de la mangaka.
Au final Cherry magic est un petit titre plein de fraicheur et d'humour qui se laisse lire bien et très rapidement. J'ai hâte de lire la suite en tout cas qui si je ne me trompe pas devrait débarquer début novembre.
