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Critique de julienraynaud
Grr !! ça commence mal. Un livre trop épais (pourquoi pas 2 tomes?), qu'on ne peut tenir. Mais on en a pour ses 25 euros, dira-t-on au terme des 925 pages...
Le livre commence par des citations, puis un faux prologue en italique. Suit le vrai prologue, qui débute par une citation. Suit la Première partie, qui s'ouvre sur des citations (en anglais et répétitives) ! Puis une carte (bien pratique) et enfin le chapitre 1. On est donc page 37, et ça peut commencer, sur un texte en langue inconnue.
Sur l'intrigue, rien à critiquer, on est dans les chaussures de D. Brown. L'auteur s'est donné du mal pour nous en mettre plein la vue.
Il faut certes être friand de gaz ionisé et de datation, de militaires, d'homologation et des Russes, etc...
Il faut aussi digérer les descriptions à mille lieues de Zola, mais c'est la loi des thriller de notre époque. On sourira à des phrases de ce type : "Par contraste avec l'atmosphère sépulcrale des étages, l'animation qui y régnait avait quelque chose de réconfortant."
Sur l'écriture, on rétorquera bien sûr qu'il vaut mieux lire des livres de 120 pages pour espérer trouver des phrases calibrées et maintes fois relues, à la Camus ou Nothomb (pardon de l'association).
Le livre commence par des citations, puis un faux prologue en italique. Suit le vrai prologue, qui débute par une citation. Suit la Première partie, qui s'ouvre sur des citations (en anglais et répétitives) ! Puis une carte (bien pratique) et enfin le chapitre 1. On est donc page 37, et ça peut commencer, sur un texte en langue inconnue.
Sur l'intrigue, rien à critiquer, on est dans les chaussures de D. Brown. L'auteur s'est donné du mal pour nous en mettre plein la vue.
Il faut certes être friand de gaz ionisé et de datation, de militaires, d'homologation et des Russes, etc...
Il faut aussi digérer les descriptions à mille lieues de Zola, mais c'est la loi des thriller de notre époque. On sourira à des phrases de ce type : "Par contraste avec l'atmosphère sépulcrale des étages, l'animation qui y régnait avait quelque chose de réconfortant."
Sur l'écriture, on rétorquera bien sûr qu'il vaut mieux lire des livres de 120 pages pour espérer trouver des phrases calibrées et maintes fois relues, à la Camus ou Nothomb (pardon de l'association).
