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Critique de anniebarbier
La neige est noire à Ravensbrück
Je viens de terminer le roman de Jacques Travers
http://libre2lire.fr/livres/la-neige-est-noire-a-ravensbruck
J'ai lu nombre d'ouvrages traitant de la seconde guerre mondiale, de la férocité des nazis, de la résistance et des camps de concentration. du journal d'Anne Franck à Martin Gray, j'ai appris la cruauté de l'homme pour sa propre espèce et là, Jacques m'en a remis une bonne couche.
Evidemment on ne peut que s'attacher à l'héroïne qui passe de l'enfance à la vie d'adulte en moins de temps qu'il ne faut pour le dire et en y laissant son innocence au propre comme au figuré. Elle nous remet en mémoire que la grande Histoire est pavée d'une multitude de "petites histoires", pétries de courage et de ténacité. de celles à effet domino qui ont fait vaciller le pire pour obtenir le meilleur.
On retrouve aussi dans ce roman la sombritude de nombre de personnages qui se fondent dans la société entre Dr Jekyll et Mr Hyde. Ici encore, on est convaincu que c'est en temps de guerre que chacun dévoile son être profond, que ce soient les courageux, les fourbes ou les pleutres.
J'ai eu souvent le coeur au bord des lèvres et la rage au ventre. Evidemment, le rouge, le noir, le feu, le sang, mais... avec ta dernière ligne, Jacques, tu as rendu à la vie sa virginité et son innocence. "La neige reste blanche". Merci pour ça !
Annie Barbier
Je viens de terminer le roman de Jacques Travers
http://libre2lire.fr/livres/la-neige-est-noire-a-ravensbruck
J'ai lu nombre d'ouvrages traitant de la seconde guerre mondiale, de la férocité des nazis, de la résistance et des camps de concentration. du journal d'Anne Franck à Martin Gray, j'ai appris la cruauté de l'homme pour sa propre espèce et là, Jacques m'en a remis une bonne couche.
Evidemment on ne peut que s'attacher à l'héroïne qui passe de l'enfance à la vie d'adulte en moins de temps qu'il ne faut pour le dire et en y laissant son innocence au propre comme au figuré. Elle nous remet en mémoire que la grande Histoire est pavée d'une multitude de "petites histoires", pétries de courage et de ténacité. de celles à effet domino qui ont fait vaciller le pire pour obtenir le meilleur.
On retrouve aussi dans ce roman la sombritude de nombre de personnages qui se fondent dans la société entre Dr Jekyll et Mr Hyde. Ici encore, on est convaincu que c'est en temps de guerre que chacun dévoile son être profond, que ce soient les courageux, les fourbes ou les pleutres.
J'ai eu souvent le coeur au bord des lèvres et la rage au ventre. Evidemment, le rouge, le noir, le feu, le sang, mais... avec ta dernière ligne, Jacques, tu as rendu à la vie sa virginité et son innocence. "La neige reste blanche". Merci pour ça !
Annie Barbier
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