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Critique de fnitter


Après un second tome un peu décevant, un dernier tome (en français) moins fade, mais hélas, trois fois hélas, il ne s'y passe pas grand chose, et le reste de la série n'ayant pas été traduit, nous ne saurons jamais le fin mot de l'histoire.

Nous avions laissé les différents protagonistes du tome 2 : Transgression, dans les situations suivantes :
Shan Frankland éjectée dans l'espace. Ade Bennet infecté par la C'naatat, les bezeri exterminés par une explosion nucléaire déclenchée par Neville et Rayat.
Le début du roman, nous remet d'ailleurs assez bien dans le bain.

Les Wess'har sont végétariens et respectent toute forme de vie, mais toute guerre contre eux devient une lutte à mort et si on les provoque, ils se lancent dans une guerre sans pitié, pouvant éliminer plusieurs millions de personnes.
Vaste programme dont nous ne verrons, hélas, pas le moindre petit bout de nez.

Le roman tourne autour de la responsabilité des journalistes, de la responsabilité individuelle, celle des militaires obéissant aux ordres, la notion d'ordre illégal, le respect de l'écologie. L'auteur reste toujours aussi axé sur l'anticléricalisme et l'athéisme forcené et l'espèce humaine ne sort pas grandie de cette lecture.

La lecture reste intéressante malgré tout, le thème du contact est traité de façon suffisamment originale, sans sombrer dans l'anthropomorphisme ou la suffisance, mais le style est toujours aussi froid (une caractéristique de l'auteur visiblement). Les personnages évoluent, mais comme je l'ai dit en début de critique, la suite n'a pas été traduite.
Mais d'un autre côté, aurais-je poursuivi mon voyage dans ces guerres qui n'en ont que le nom ?
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