Le huitième épisode de la Diaspora des
Desrosiers, l'avant-dernier malheureusement. Malgré la fin annoncée, celui-ci est comme un bonbon qu'on prend plaisir à suçoter. On est en 1935 durant la grande Dépression, dans un Montréal collet monté mais aussi débauché dans certains coins du boulevard Saint-Laurent. Truculence des personnages qu'on prend toujours plaisir à retrouver. Dernier droit pour La traversée du malheur, l'ultime conclusion de cette saga.
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