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Critique de Ziliz
Au lycée, les adultes vous mettaient la pression pour le Bac, et les copains pour la 'première fois'. Ah bon, vous avez franchi le pas dès le collège, vous ? Soit vous êtes mytho, soit sacrément dépravé, laissez-moi vous le dire, soit vous avez redoublé, et ça, y a pas de quoi s'en vanter. Non mais...
Enfin là je parle des années 80.
Adulte, Jean-Claude Tergal est un loser de première, pathétique et répugnant. Ado, il ne l'était pas plus que la moyenne. Comme les autres garçons en plein désarroi pubertaire, il s'est débrouillé pour apprendre les choses de la vie avant de s'y frotter, avec des livres et des conseils de copains.
Boums, bisous, revues pornos, fantasmes... Tronchet n'oublie rien, et c'est plutôt mignon. Rien de bien original sur le fond, mais l'auteur a la bonne idée d'insérer des planches de feuilletons-photos à l'eau de rose, réécrites par le jeune Jean-Claude.
Tintin et son yéti font également une apparition dans les dernières pages. Si on a lu 'Le fils du Yéti' de Tronchet, on connaît l'importance de 'Tintin au Tibet' pour l'auteur, et cela rend cette BD encore plus touchante.
Enfin là je parle des années 80.
Adulte, Jean-Claude Tergal est un loser de première, pathétique et répugnant. Ado, il ne l'était pas plus que la moyenne. Comme les autres garçons en plein désarroi pubertaire, il s'est débrouillé pour apprendre les choses de la vie avant de s'y frotter, avec des livres et des conseils de copains.
Boums, bisous, revues pornos, fantasmes... Tronchet n'oublie rien, et c'est plutôt mignon. Rien de bien original sur le fond, mais l'auteur a la bonne idée d'insérer des planches de feuilletons-photos à l'eau de rose, réécrites par le jeune Jean-Claude.
Tintin et son yéti font également une apparition dans les dernières pages. Si on a lu 'Le fils du Yéti' de Tronchet, on connaît l'importance de 'Tintin au Tibet' pour l'auteur, et cela rend cette BD encore plus touchante.
