C'est très bref, 80 pages, petit format. Pour moi c'est un emballage trompeur. Je m'attendais à un portrait de
Pouchkine ou bien à une biographie subjective. J'ai eu droit à des souvenirs d'enfance de la poétesse, qui a découvert
Eugène Onéguine à l'âge de six ans. Autre ennui, c'est un texte poétique où l'écriture se fait soupir. Les textes poétiques, ce n'est pas ma tasse de thé.
Extrait : « le gros
Pouchkine, je le lis dans l'armoire, le nez contre le livre, sur l'étagère, dans le noir, presque, à plein, presque étouffée par son poids, son poids qui pèse juste sur ma gorge, presque aveuglée par la proximité des lettres minuscules.
Pouchkine, je le lis en plein dans le coeur, en plein dans le cerveau ». P31
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