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Critique de TelKines
La BD Léonard, c'est du Léonard. On peut peut-être y voir du Cubitus, du Gaston ou autre BD du même genre. Logique vu qu'il s'agit de gags de une à quelques pages, avec des gags à répétition et parfois, ici, des jeux de mots ou du moins, enfin surtout, des gags visuels. Y a des gags, quoi, vous l'aurez compris !
Dans cet album, comme à son habitude, Léonard va avoir des idées abracadabrantesques et continue de se servir de Disciple comme souffre-douleur et cobaye en tout genre. Donc il invente la platine pour disque vinyle (enfin en modèle géant de géant), il se permet de voyager dans le monde merveilleux des contes qui ne sont plus si merveilleux que cela, il tente d'inventer l'exosquelette permettant de donner une force surhumaine à Disciple mais tout ça trébuche toujours quelque part. Et Disciple prend coup sur coup.
Bon ça fait sourire, ça fait passer gentiment le temps, c'est divertissant, en gros ça fait son job !
Dans cet album, comme à son habitude, Léonard va avoir des idées abracadabrantesques et continue de se servir de Disciple comme souffre-douleur et cobaye en tout genre. Donc il invente la platine pour disque vinyle (enfin en modèle géant de géant), il se permet de voyager dans le monde merveilleux des contes qui ne sont plus si merveilleux que cela, il tente d'inventer l'exosquelette permettant de donner une force surhumaine à Disciple mais tout ça trébuche toujours quelque part. Et Disciple prend coup sur coup.
Bon ça fait sourire, ça fait passer gentiment le temps, c'est divertissant, en gros ça fait son job !
