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Critique de Vexiana
Quand j'ai entendu parler de ce roman, j'ai eu très envie de le lire.
Quand je l'ai eu ente les mains, j'ai eu envie de le lire tout de suite, au mépris de la hiérarchie de ma PAL...
Quand je l'ai commencé, j'étais enthousiaste. Ce roman présentait l'originalité de son concept mêlé à certains aspects auxquels je ne résiste que rarement : high society anglaise, grandes demeures, secrets de famille, etc etc.
Puis, assez vite, je me suis lassée et j'ai eu beaucoup beaucoup de mal à m'intéresser à l'histoire. Je ne sais pas si le terme existe mais le qualificatif qui me vient à l'esprit est que ce roman est trop méandreux.
Ca va, ça vient, ça passe, ça revient.
Les morts s'accumulent, les identités se confondent et les dynamiques changent tout ça pour finalement cesser de m'intéresser.
Attention, je ne dis pas que c'est mauvais, mais j'ai l'impression que l'auteur s'est laissé emporter par son histoire et a laissé le lecteur un peu sur le carreau.
Bref, je l'ai terminé mais ça n'a pas été sans mal.
Quand je l'ai eu ente les mains, j'ai eu envie de le lire tout de suite, au mépris de la hiérarchie de ma PAL...
Quand je l'ai commencé, j'étais enthousiaste. Ce roman présentait l'originalité de son concept mêlé à certains aspects auxquels je ne résiste que rarement : high society anglaise, grandes demeures, secrets de famille, etc etc.
Puis, assez vite, je me suis lassée et j'ai eu beaucoup beaucoup de mal à m'intéresser à l'histoire. Je ne sais pas si le terme existe mais le qualificatif qui me vient à l'esprit est que ce roman est trop méandreux.
Ca va, ça vient, ça passe, ça revient.
Les morts s'accumulent, les identités se confondent et les dynamiques changent tout ça pour finalement cesser de m'intéresser.
Attention, je ne dis pas que c'est mauvais, mais j'ai l'impression que l'auteur s'est laissé emporter par son histoire et a laissé le lecteur un peu sur le carreau.
Bref, je l'ai terminé mais ça n'a pas été sans mal.
