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Critique de Bibliosam
Les Alpes, un slip et une satire.
Mark Twain et son acolyte Harris décident de partir à la découverte des Alpes. Armés de leurs alpenstocks ils voyagent de Lucerne à Chamonix. Mais rien ne se passe comme prévu car ils s'avèrent être de piètres aventuriers. Ce qui devait être un reportage sérieux se mue en récit loufoque et malicieux.
Twain se moque en fait des récits d'aventuriers de son époque et avec un esprit aussi formidable que le sien, ce n'est que du bonheur. Leurs péripéties sont hilarantes, elles sont souvent dues à leur manque de sérieux. Sauf quand lors d'une nuit dans une auberge le personnel échange par mégarde tous les vêtements des hôtes après les avoir faits sécher. le dîner se transforme alors en une sorte de bal masqué et marché au gros pour retrouver ses vêtements. (J'en ris encore).
Il juge aussi de son oeil espiègle le folklore des Alpes. Les coucous, les guides, les alpenstocks, les souvenirs... Tout passe au tribunal de son humour féroce.
En vrai reporter, malgré le ton léger employé il n'oublie pas de s'émerveiller de la beauté de la montagne et de raconter avec une émotion certaine les drames qu'elle peut provoquer et les exploits de ceux qui en ont conquis les sommets au péril de leur vie.
Vous l'avez compris, j'ai beaucoup aimé ce livre. Je suis sous le charme de l'esprit de Twain et c'est un excellent remède à la morosité ambiante.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Mark Twain et son acolyte Harris décident de partir à la découverte des Alpes. Armés de leurs alpenstocks ils voyagent de Lucerne à Chamonix. Mais rien ne se passe comme prévu car ils s'avèrent être de piètres aventuriers. Ce qui devait être un reportage sérieux se mue en récit loufoque et malicieux.
Twain se moque en fait des récits d'aventuriers de son époque et avec un esprit aussi formidable que le sien, ce n'est que du bonheur. Leurs péripéties sont hilarantes, elles sont souvent dues à leur manque de sérieux. Sauf quand lors d'une nuit dans une auberge le personnel échange par mégarde tous les vêtements des hôtes après les avoir faits sécher. le dîner se transforme alors en une sorte de bal masqué et marché au gros pour retrouver ses vêtements. (J'en ris encore).
Il juge aussi de son oeil espiègle le folklore des Alpes. Les coucous, les guides, les alpenstocks, les souvenirs... Tout passe au tribunal de son humour féroce.
En vrai reporter, malgré le ton léger employé il n'oublie pas de s'émerveiller de la beauté de la montagne et de raconter avec une émotion certaine les drames qu'elle peut provoquer et les exploits de ceux qui en ont conquis les sommets au péril de leur vie.
Vous l'avez compris, j'ai beaucoup aimé ce livre. Je suis sous le charme de l'esprit de Twain et c'est un excellent remède à la morosité ambiante.
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