le moins que l'on puisse dire, c'est que l'on prend un immense plaisir à suivre l'histoire d'Edgar Mint. Tout d'abord, parce que Udall réussit un début de roman extraordinaire, ce gamin métis ( dors la mère se noie dans l'alcool et dont le père à pris la tangente) va ce faire écraser la tête par le facteur mais va miraculeusement s'en sortir. Dès lors le jeune garçon va vivre des aventures à la fois rocambolesques, périlleuses et drôlatiques. Bien évidemment, le plaisir du livre vient de la sympathie que l'on éprouve pour le petit Edgar, gamin attachant, débroulliard et innocent. On se délecte de ce gros pavé (plus de 500 pages) avec jubilation et l'on se dit que
Brady Udall est un sacré romancier. A lire son problème.
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