>
Critique de Kenehan
Et voilà on touche le fond...
J'ai réellement détesté cet album un peu comme j'ai détesté le tome 33 il y a quelques années. Mais que se passe-t-il en Armorique ? Alors qu'Assurancetourix rejoignait le rang de héros dans "Astérix chez Rahâzade", ici il redevient le pauvre barbe incompris et persécuté par ses pairs. Les femmes du village décident de lui retirer l'éducation de leurs enfants à la faveur d'un barde femme.
Et voilà que l'on tombe dans une lutte féministes contre machistes au sein du village. En gros, tout ce qui m'insupporte au plus au point d'autant qu'au final les uns ne valent pas mieux que les autres. Mais comme ce n'est pas encore assez, voilà qu'Uderzo fait d'Astérix un homme violent envers les femmes. Je dois avouer que ce coup de poing contre Maestria m'est resté en travers...
Je ne saisi pas trop ce qu'Uderzo a voulu faire ici mais c'est vraiment râté. D'autant plus, qu'au final l'image des femmes en prend un sacré coup entre les romaines de la légion qui ont peur des "bêtes de la forêt" et qui sont violentes et puis les femmes en général qui ne sont passionnées que par la mode et le shopping.
Une lecture dont on peut franchement se passer !
J'ai réellement détesté cet album un peu comme j'ai détesté le tome 33 il y a quelques années. Mais que se passe-t-il en Armorique ? Alors qu'Assurancetourix rejoignait le rang de héros dans "Astérix chez Rahâzade", ici il redevient le pauvre barbe incompris et persécuté par ses pairs. Les femmes du village décident de lui retirer l'éducation de leurs enfants à la faveur d'un barde femme.
Et voilà que l'on tombe dans une lutte féministes contre machistes au sein du village. En gros, tout ce qui m'insupporte au plus au point d'autant qu'au final les uns ne valent pas mieux que les autres. Mais comme ce n'est pas encore assez, voilà qu'Uderzo fait d'Astérix un homme violent envers les femmes. Je dois avouer que ce coup de poing contre Maestria m'est resté en travers...
Je ne saisi pas trop ce qu'Uderzo a voulu faire ici mais c'est vraiment râté. D'autant plus, qu'au final l'image des femmes en prend un sacré coup entre les romaines de la légion qui ont peur des "bêtes de la forêt" et qui sont violentes et puis les femmes en général qui ne sont passionnées que par la mode et le shopping.
Une lecture dont on peut franchement se passer !
