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Critique de Fannynova
Ecrire un manuel d'anti-développement personnel en s'associant à un gros beauf qui se croit beau gosse, quand on est soi-même une quadra frustrée de la vie, en voilà une bonne idée ! Et un résumé qui m'a bien tentée lorsque j'ai reçu cette proposition de masse critique de la part de Babelio.
Malheureusement, le résultat final m'a déçue : peut-être est-ce dû à un souci dans la narration, qui m'a semblé bancale à certains moments, et au peu de background au sujet de l'héroïne (du coup son pitoyable acolyte en devient plus attachant qu'elle, surtout lorsqu'on le voit répondre au téléphone en faisant semblant d'être à L.A. et que sa mère lui crie : "Tu viens manger Riri, y'a des cordons bleus !").
Il y a quelques bonnes punchlines, mais la montée en puissance de l'influence mondiale du "livre dans le livre", poussant les gens à se rebeller contre la bienséance et à insulter tout le monde pour prendre la première place, n'est pas assez poussée à mon goût, il aurait fallu aller plus loin dans l'absurde, mais n'est pas Fabcaro qui veut.
Malheureusement, le résultat final m'a déçue : peut-être est-ce dû à un souci dans la narration, qui m'a semblé bancale à certains moments, et au peu de background au sujet de l'héroïne (du coup son pitoyable acolyte en devient plus attachant qu'elle, surtout lorsqu'on le voit répondre au téléphone en faisant semblant d'être à L.A. et que sa mère lui crie : "Tu viens manger Riri, y'a des cordons bleus !").
Il y a quelques bonnes punchlines, mais la montée en puissance de l'influence mondiale du "livre dans le livre", poussant les gens à se rebeller contre la bienséance et à insulter tout le monde pour prendre la première place, n'est pas assez poussée à mon goût, il aurait fallu aller plus loin dans l'absurde, mais n'est pas Fabcaro qui veut.
