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Critique de bilodoh
Polar québécois où plusieurs affaires occupent une équipe de policier des années 70.
À l'époque, Jeanne Laberge est une des rares femmes dans la police et la première à occuper un poste d'enquêteur. Il a fallu qu'elle prouve son efficacité et elle a dû faire face aux préjugés comme ceux de ce collègue qui pensait « que le métier d'enquêteur n'était pas fait pour les femmes, qu'il jugeait trop sentimentales. Il était incapable de les imaginer sur une scène de crime, sans penser qu'elles tourneraient de l'oeil ou se mettraient peut-être à pleurer. Et puis, la violence n'était pas une affaire de femmes. » (Recto Verso, p. 45)
Et cette policière chargée d'enquêtes est aussi une victime. Sa propre fille a été enlevée à l'hôpital où elle venait de naître. La mère n'a jamais réussi à trouver ce qui est arrivé à son bébé et ce drame continue de la hanter. Elle a gardé son travail, mais elle a changé, est devenue plus froide et solitaire, rongée par un chagrin qu'elle ne peut pas partager.
En plus de pénétrer dans la tragédie de l'enlèvement d'enfant, ce polar touchera le thème de la violence envers les femmes et le comportement incompréhensible de ces victimes, souvent battues, mais qui retournent toujours auprès de leur agresseur.
Un polar d'émotions, une lecture intéressante malgré quelques coquilles.
À l'époque, Jeanne Laberge est une des rares femmes dans la police et la première à occuper un poste d'enquêteur. Il a fallu qu'elle prouve son efficacité et elle a dû faire face aux préjugés comme ceux de ce collègue qui pensait « que le métier d'enquêteur n'était pas fait pour les femmes, qu'il jugeait trop sentimentales. Il était incapable de les imaginer sur une scène de crime, sans penser qu'elles tourneraient de l'oeil ou se mettraient peut-être à pleurer. Et puis, la violence n'était pas une affaire de femmes. » (Recto Verso, p. 45)
Et cette policière chargée d'enquêtes est aussi une victime. Sa propre fille a été enlevée à l'hôpital où elle venait de naître. La mère n'a jamais réussi à trouver ce qui est arrivé à son bébé et ce drame continue de la hanter. Elle a gardé son travail, mais elle a changé, est devenue plus froide et solitaire, rongée par un chagrin qu'elle ne peut pas partager.
En plus de pénétrer dans la tragédie de l'enlèvement d'enfant, ce polar touchera le thème de la violence envers les femmes et le comportement incompréhensible de ces victimes, souvent battues, mais qui retournent toujours auprès de leur agresseur.
Un polar d'émotions, une lecture intéressante malgré quelques coquilles.
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