Les amis n’utilisent pas leurs souffrances comme une arme, ils ne se moquent pas, ils soutiennent et défendent.
Nous allons mourir de ce poème. Plein- Ciel ne se conteste pas, en aucune façon.
Les émotions pouvaient bien valser dans sa poitrine, si elle les gardait enfermées à double tour, personne ne pourrait les retourner contre elle.
Personne ne devrait se détester d'exister. (p.42)
La confiance est une denrée dangereuse, ces jours-ci, mais plus que jamais nous avons besoin d'accorder notre confiance, nous avons besoin de nous unir...
Tu es prisonnière de cet Opéra, comme ton rossignol [...]. Comme nous, plus que chacun d'entre nous, et tu dois maintenir les apparences à chaque instant. Tu es le cœur de Plein-Ciel et on t'a volé ton humanité en échange d'un piédestal.
Ce qui compte, ce n’est pas l’échec, ni la souffrance, ni l’humiliation, c’est ce que vous en faites ! C’est à l’aune de votre détermination que s’orientera votre vie. Quel choix poserez-vous face aux défis, face aux autres, face à vous-même ?
Tu dois distinguer la parure de ce qu'elle dissimule. Aucune illusion ne te protégera de ta peau-de-lune. Il te faudra du discernement, du tact et de la discrétion. N'oublie pas !
Une plaisanterie qui blesse n'est pas une plaisanterie. (p.268)
Le dragon de papier était si large que la scène de Plein-Ciel peinait à le contenir entièrement.