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Critique de llyza
J'aime les secondes chances, quelle déception ! Tant de clichés, tant de méchanceté et de misogynie réuni en un si petit roman...
J'ai grincé des dents.
Ça commence par la grossophobie avec ce jugement de valeur sans cesse sur le fait d'être grosse, d'être garçon manqué et que forcément pour plaire à l'autre il faut être sculpté et mince, blonde c'est mieux mais forcément on est salope dans ce cas-là. On ne peut pas tout avoir, la vie c'est blanc ou noir.
Il y a cette pression pour plaire à un mec, qu'il n'y a que l'héroïne et ses copines qui savent s'y prendre au lit, bah oui l'autre forcément elle est coincée et prude. Elles maitrisent t'as vu, elles ont lu FSOG et c'est askip "profond". TOUSSE. L'ex, il est "gentil", coincé mais juste avant il se marre parce qu'elle taille super bien des pipes avec un de ses potes ? Ouai c'est un mec "bien" tu le sens de suite que c'est un mec posé. Vous pouvez prendre l'accent de cité ou de Marseille pour continuer dans le cliché, on est bien là.
Ce n'est que ce genre de phrases balancées comme ça, avec un mélange de bien pensées et parfois de vulgarité qui m'a complètement fait hallucinée. Il y avait matière à faire quelque chose de chouette mais c'était sans la personnalité pédante de l'héroïne et le sacro saint : ne pas rabaisser un autre personnage féminin pour faire mousser le propre vide de ton personnage principale, ne pas utiliser tous les ex autour d'elle pour faire comprendre qu'elle est trop bandante (alors qu'avant c'était un thon parce qu'elle était brune, grosse...) et ne pas me dire que FSOG est une référence (parce qu'à part en therme de marketing ou de comment faire un bestseller sans savoir écrire, on peut repasser).
Bref, je vais chercher ailleurs si je trouve un #secondechance sans jugement à deux balles.
J'ai grincé des dents.
Ça commence par la grossophobie avec ce jugement de valeur sans cesse sur le fait d'être grosse, d'être garçon manqué et que forcément pour plaire à l'autre il faut être sculpté et mince, blonde c'est mieux mais forcément on est salope dans ce cas-là. On ne peut pas tout avoir, la vie c'est blanc ou noir.
Il y a cette pression pour plaire à un mec, qu'il n'y a que l'héroïne et ses copines qui savent s'y prendre au lit, bah oui l'autre forcément elle est coincée et prude. Elles maitrisent t'as vu, elles ont lu FSOG et c'est askip "profond". TOUSSE. L'ex, il est "gentil", coincé mais juste avant il se marre parce qu'elle taille super bien des pipes avec un de ses potes ? Ouai c'est un mec "bien" tu le sens de suite que c'est un mec posé. Vous pouvez prendre l'accent de cité ou de Marseille pour continuer dans le cliché, on est bien là.
Ce n'est que ce genre de phrases balancées comme ça, avec un mélange de bien pensées et parfois de vulgarité qui m'a complètement fait hallucinée. Il y avait matière à faire quelque chose de chouette mais c'était sans la personnalité pédante de l'héroïne et le sacro saint : ne pas rabaisser un autre personnage féminin pour faire mousser le propre vide de ton personnage principale, ne pas utiliser tous les ex autour d'elle pour faire comprendre qu'elle est trop bandante (alors qu'avant c'était un thon parce qu'elle était brune, grosse...) et ne pas me dire que FSOG est une référence (parce qu'à part en therme de marketing ou de comment faire un bestseller sans savoir écrire, on peut repasser).
Bref, je vais chercher ailleurs si je trouve un #secondechance sans jugement à deux balles.
