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Critique de Melo
Alors que j'avais fait du tome 1 un coup de coeur (voir ici), j'ai été déçue par ce deuxième opus. On y retrouve Thomas, notre pré-ado de 13 ans moins le quart, mais alors que je m'étais attachée à lui dans le premier tome, ici il m'a semblé plus fade et moins intéressant. Sa relation avec le savant qui avait pris vie dans son ours en peluche et qui m'avait beaucoup fait rire se retrouve reléguée au second plan. Il faut d'ailleurs attendre plus de la moitié de l'ouvrage pour que l'ours fasse irruption dans l'histoire.
Malgré tout, il y a de l'idée et une certaine caricature de la société : les Etats-Uniques (j'adore cette idée !), les véhicules roulant à l'huile végétale, la population empuçée pour garantir la sécurité et garder un contrôle sur les déviances (l'alcool, la depression, …). A travers un roman d'aventures, l'auteur nous livre un message non dénué de sens.
Lire la suite ici :
Lien : http://lesmotsdemelo.com/201..
Malgré tout, il y a de l'idée et une certaine caricature de la société : les Etats-Uniques (j'adore cette idée !), les véhicules roulant à l'huile végétale, la population empuçée pour garantir la sécurité et garder un contrôle sur les déviances (l'alcool, la depression, …). A travers un roman d'aventures, l'auteur nous livre un message non dénué de sens.
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