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Critique de mpoulin000
Blouse blanche et cinq nouvelles d'anticipation. Jean-Baptiste van Dyck, 190 pages, DB Editions, 2018.
Ce genre littéraire n'est pas mon préféré, mais j'aime garder un esprit ouvert et sortir de ma zone de confort. Par contre, le moment ne m'a pas paru idéal pour lire ces nouvelles d'anticipation avec la pandémie et le confinement vécus présentement. L'anticipation y est à court terme; étrange et apeurant!
Blouse blanche raconte Antoine, infirmier de 25 ans au comportement étrange et asocial. Il fonctionne au quotidien, mais il préfère s'évader dans ses peintures que de nouer des liens avec les autres. Quand il se trouve confronté à la réalité, il disjoncte… Dans Fortune macabre…, l'auteur parle de santé publique, de vieillissement et des interdictions nombreuses (de rassemblement, d'exposition au soleil, etc.) liées aux craintes de maladies, d'épidémie dans un état policier où la société est vieillissante.
Les nouvelles anticipent l'économie, l'alimentaire, la science, la démographie, l'écologie; elles soulèvent des centaines d'interrogations. Quand la population mondiale aura doublé, que retrouverons-nous dans nos assiettes? le réchauffement planétaire est-il réversible? Relèverons-nous le défi écologique ou faudra-t-il une guerre pour sauver la planète? Vivons-nous cette guerre présentement? L'homme vivra-t-il toujours aussi libre qu'il vivait hier? L'homme survivra-t-il à sa bêtise? Comment prévenir les désordres liés à la santé mentale?
C'est bien écrit, et presque aussi précis qu'une incision au scalpel. L'auteure sait de quoi il parle car il travaille dans le domaine de la santé. Je déplore seulement un peu trop d'hémoglobine en début de recueil au point où je n'étais plus certaine de vouloir continuer, mais j'ai bien fait. Très bien fait.
Note : 3,25/5 (sans le sang en début de recueil, j'aurais donné 4/5).
Ce genre littéraire n'est pas mon préféré, mais j'aime garder un esprit ouvert et sortir de ma zone de confort. Par contre, le moment ne m'a pas paru idéal pour lire ces nouvelles d'anticipation avec la pandémie et le confinement vécus présentement. L'anticipation y est à court terme; étrange et apeurant!
Blouse blanche raconte Antoine, infirmier de 25 ans au comportement étrange et asocial. Il fonctionne au quotidien, mais il préfère s'évader dans ses peintures que de nouer des liens avec les autres. Quand il se trouve confronté à la réalité, il disjoncte… Dans Fortune macabre…, l'auteur parle de santé publique, de vieillissement et des interdictions nombreuses (de rassemblement, d'exposition au soleil, etc.) liées aux craintes de maladies, d'épidémie dans un état policier où la société est vieillissante.
Les nouvelles anticipent l'économie, l'alimentaire, la science, la démographie, l'écologie; elles soulèvent des centaines d'interrogations. Quand la population mondiale aura doublé, que retrouverons-nous dans nos assiettes? le réchauffement planétaire est-il réversible? Relèverons-nous le défi écologique ou faudra-t-il une guerre pour sauver la planète? Vivons-nous cette guerre présentement? L'homme vivra-t-il toujours aussi libre qu'il vivait hier? L'homme survivra-t-il à sa bêtise? Comment prévenir les désordres liés à la santé mentale?
C'est bien écrit, et presque aussi précis qu'une incision au scalpel. L'auteure sait de quoi il parle car il travaille dans le domaine de la santé. Je déplore seulement un peu trop d'hémoglobine en début de recueil au point où je n'étais plus certaine de vouloir continuer, mais j'ai bien fait. Très bien fait.
Note : 3,25/5 (sans le sang en début de recueil, j'aurais donné 4/5).
