AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Diabolau


Ça devait arriver, Shaïgan-sans-merci (huhu, ce nom !) va croiser le chemin d'un homme qui l'a connu avant.
Ça démarre plutôt bien, avec les manoeuvres de Kriss de Valnor pour empêcher à tout prix Galathorn de parler, et puis très rapidement, on tombe dans les deus ex machina. Pour n'en citer qu'un seul, pourquoi Galathorn a-t-il une corde à sa disposition pour sauver Thorgal alors qu'il est censé être plus ou moins prisonnier dans une chambre ?
Arrive ensuite la fantasmagorie des géants, plutôt sympathique et bon enfant, avec des créatures tellement idiotes et naïves qu'on se demande comment elles ont pu faire match nul dans leur bataille avec les Dieux. Et puis, ces promenades mythologiques n'ont jamais été ce que je préférais dans Thorgal. Ensuite, de nouveau un enchaînement de deus ex machina pour permettre à Thorgal de tailler la route sur une coque de noix, son identité retrouvée.
Bon, il est aimé des dieux, ok. Soit.
Pour moi, cet arc narratif, qui touchera à son terme au tome suivant, est quand même bien moins bon que les deux précédents. J'ai même vu dans ce volume (c'est très rare chez Rosinski) quelques problèmes de fluidité narrative d'une case à l'autre qui ralentissent la compréhension de l'action.
Commenter  J’apprécie          60



Ont apprécié cette critique (5)voir plus




{* *}