AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Laudeaj


J'ai commencé fort cette saison des 68 avec 2-3 coups de coeur et de belles surprises dès l'entrée mais avec ce roman, je me suis ennuyée… je crois que je suis complètement passée à côté ! J'étais pressée d'en arriver au bout, mais comme je n'abandonne jamais un livre commencé, j'ai pu apprécier la fin qui a relevé un peu mon attention.

Louise est une jeune femme brillante qui a créé une petite agence de com et qui doit « gérer » un client, Designer un peu excentrique. Vincent, son amant du moment, veut lui faire partager ses fantasmes délirants et son frère, lui, a tendance à être aux abonnés absents. Son père récemment décédé lui a laissé en héritage une magnifique collection de carpes Koï, dispersées un peu partout dans les étangs de Paris, qu'il va falloir récupérer pour les mettre à l'abri des personnes peu scrupuleuses.

C'est un joli conte avec de l'extraordinaire, de la fantaisie et de l'imagination où se dessine l'idée d'une double vie, d'un rite de passage après avoir accompli les dernières volontés de son père ou plutôt après avoir réussi à transmettre son héritage avec la complicité de son frère.

« La vérité était l'affaire des romans, celle de son père était à lire deux fois. Dans la mare, chaque coup de queue pour éviter le filet de Mehdi était désormais porteur d'une nouvelle légende. Une légende héroïque à partager avec un frère. »

« On pouvait commencer un monde avec une flaque d'eau et du soleil. Oui, elle pouvait tout recommencer. Elle plia les genoux comme son frère lui avait appris et plongea vers Saïto ».

J'ai aimé la poésie des noms, la fantaisie des couleurs de ces carpes japonaises (dont j'ignorais tout), la description de leurs mouvements et bien sûr de « Saïto » et « Grand Platinum » ; mais je crains que ce ne soient là, les seuls souvenirs qui me restent de ce roman…

A relire peut-être ?

Lu pour les 68 premières fois.
Commenter  J’apprécie          40



Ont apprécié cette critique (4)voir plus




{* *}