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Critique de Lilvm
Un livre jeunesse qui se lit facilement, bien qu'il soit peut-être un peu long pour le public auquel il est destiné (plutôt pour des enfants qui sont de bons lecteurs donc). le livre présente un beau travail d'édition avec des illustrations attrayantes et une présentation différente pour les pages correspondant au devoir rédigé par la protagoniste.
Il s'agit d'un bon roman d'aventure qui suit une jeune fille se lançant dans une véritable quête que les lecteurs prendront plaisir à suivre. On découvre avec elle les éléments qu'elle décèle sur l'identité de son père, ainsi que le Suriname, un pays bien loin de notre culture qui lui réservera beaucoup de surprises.
J'ai seulement été un peu étonnée que les événements indiqués en quatrième de couverture arrivent si tard dans l'intrigue — j'aurais préféré passer plus de temps au Suriname — et je regrette un peu la représentation féminine imaginée par l'auteur. Dans un roman jeunesse aussi récent, il est dommage qu'en dehors du personnage principal le seul autre personnage féminin de son âge, Vita, soit une caricature de la peste très "fifille" qui ne fait que renforcer le stéréotype de la rivalité féminine. Eva est une petite fille débrouillarde et aventurière, mais, malgré un entourage entièrement masculin, elle glousse tout de même devant les garçons et est la seule incapable de monter une tente. Nous avons tous nos limitations, mais il aurait été judicieux d'équilibrer un peu les choses.
Malgré ces petits défauts, je pense qu'il s'agit d'un roman divertissant qui peut apprendre des choses et donner envie d'en découvrir plus sur le Suriname et sur d'autres pays.
Il s'agit d'un bon roman d'aventure qui suit une jeune fille se lançant dans une véritable quête que les lecteurs prendront plaisir à suivre. On découvre avec elle les éléments qu'elle décèle sur l'identité de son père, ainsi que le Suriname, un pays bien loin de notre culture qui lui réservera beaucoup de surprises.
J'ai seulement été un peu étonnée que les événements indiqués en quatrième de couverture arrivent si tard dans l'intrigue — j'aurais préféré passer plus de temps au Suriname — et je regrette un peu la représentation féminine imaginée par l'auteur. Dans un roman jeunesse aussi récent, il est dommage qu'en dehors du personnage principal le seul autre personnage féminin de son âge, Vita, soit une caricature de la peste très "fifille" qui ne fait que renforcer le stéréotype de la rivalité féminine. Eva est une petite fille débrouillarde et aventurière, mais, malgré un entourage entièrement masculin, elle glousse tout de même devant les garçons et est la seule incapable de monter une tente. Nous avons tous nos limitations, mais il aurait été judicieux d'équilibrer un peu les choses.
Malgré ces petits défauts, je pense qu'il s'agit d'un roman divertissant qui peut apprendre des choses et donner envie d'en découvrir plus sur le Suriname et sur d'autres pays.
