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Critique de Alexmotamots
Mon avis :
J'avais bien aimé "Fakirs" du même auteur, même je l'avais trouvé très "noir", comme sa couverture (Prix Sang d'Encre 2010).
Ici, rien de tel : le titre donne le ton. Car, comme l'auteur nous le précise d'entrée de jeu, un gâteau mexicain est "un gros tas de graisse coloré, à trois étages ou plus, surmontés de personnages en plastique". Tout est dit : ce roman est "too-much", mais dans le bon sens du terme, complètement différent du précédent que j'ai lu (qui est en fait le 3e de l'auteur).
Un écrivain qui sait se renouveler tout en restant dans le style polar - ce qui n'est pas évident - a tout pour me plaire.
Dommage que je n'ai pu le rencontrer lors des journées Sang d'Encre...
Je vais donc dès à présent réserver son premier roman pour le lire prestement.
Vous l'avez compris, j'ai beaucoup aimé ce bouquin et sa fin apocalyptique et franchement étonnante : qui manipule qui ?....
Des termes boumians parsèment le récit, nous plongeant totalement dans l'univers manouche, quelques un de ses rythes et coutumes.
L'image que je retiendrai :
Celle de ce gros flic au coeur tendre.
Lien : http://motamots.canalblog.co..
J'avais bien aimé "Fakirs" du même auteur, même je l'avais trouvé très "noir", comme sa couverture (Prix Sang d'Encre 2010).
Ici, rien de tel : le titre donne le ton. Car, comme l'auteur nous le précise d'entrée de jeu, un gâteau mexicain est "un gros tas de graisse coloré, à trois étages ou plus, surmontés de personnages en plastique". Tout est dit : ce roman est "too-much", mais dans le bon sens du terme, complètement différent du précédent que j'ai lu (qui est en fait le 3e de l'auteur).
Un écrivain qui sait se renouveler tout en restant dans le style polar - ce qui n'est pas évident - a tout pour me plaire.
Dommage que je n'ai pu le rencontrer lors des journées Sang d'Encre...
Je vais donc dès à présent réserver son premier roman pour le lire prestement.
Vous l'avez compris, j'ai beaucoup aimé ce bouquin et sa fin apocalyptique et franchement étonnante : qui manipule qui ?....
Des termes boumians parsèment le récit, nous plongeant totalement dans l'univers manouche, quelques un de ses rythes et coutumes.
L'image que je retiendrai :
Celle de ce gros flic au coeur tendre.
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