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Critique de rotsenamrub
Truculence, bouffonnerie, ironie, dérision, satire sont au rendez-vous de ce jubilatoire objet littéraire.
Afin de pallier à la multiplication d'agressions sexuelles perpétrées par la soldatesque frustrée, un officier de l'armée péruvienne se voit confier la mission d'organiser discrètement le repos du guerrier.
Je me suis beaucoup amusé mais j'ai failli griller un fusible.
L'auteur use de multiples procédés narratifs, certes avec virtuosité, mais le mieux est parfois l'ennemi du bien.
L'abus d'une tournure bien particulière sur laquelle il ne manquera pas de butter amusera sans doute le lecteur mais lui apparaîtra bien vite agaçante à force de répétition.
Ajoutons que d'incessants, imprévisibles et malicieusement ambigus changements de protagonistes, de lieux et de contextes, sans saut de ligne et au mépris de toute règle typographique, nécessitent une concentration sans failles.
Le texte original s'accommode probablement mieux de ces procédés narratifs, la traduction en fut certainement ardue.
Cette pantalonnade de Mario Vargas Lliosa n'est pas toujours d'une lecture facile, elle se mérite et s'avère finalement très jouissive.
Afin de pallier à la multiplication d'agressions sexuelles perpétrées par la soldatesque frustrée, un officier de l'armée péruvienne se voit confier la mission d'organiser discrètement le repos du guerrier.
Je me suis beaucoup amusé mais j'ai failli griller un fusible.
L'auteur use de multiples procédés narratifs, certes avec virtuosité, mais le mieux est parfois l'ennemi du bien.
L'abus d'une tournure bien particulière sur laquelle il ne manquera pas de butter amusera sans doute le lecteur mais lui apparaîtra bien vite agaçante à force de répétition.
Ajoutons que d'incessants, imprévisibles et malicieusement ambigus changements de protagonistes, de lieux et de contextes, sans saut de ligne et au mépris de toute règle typographique, nécessitent une concentration sans failles.
Le texte original s'accommode probablement mieux de ces procédés narratifs, la traduction en fut certainement ardue.
Cette pantalonnade de Mario Vargas Lliosa n'est pas toujours d'une lecture facile, elle se mérite et s'avère finalement très jouissive.
