>
Critique de Sylviegeo
Un tout petit livre, une toute petite lecture mais qui promet m'a-t-il semblé. Lorsqu'on ouvre le livre cette exclamation hors du commun : "Bordel de merde, de vérole de cul " nous saute aux yeux. Oui les promesses seront tenues . Cette exclamation est le fait du Sergent Lituma lorsqu'il se retrouve devant le cadavre atrocement mutilé d'un jeune homme. Je n'en dis pas plus de l'intrigue.
Thème récurrent chez Mario Vargas Llosa, s'il en est, celui de la critique de la vie militaire, de sa culture et de son mode de fonctionnement . Un peu comme dans "La ville et les chiens" (premier roman de Vargas Llosa), ici aussi on critiquera les valeurs prônées chez les militaires: agressivité, arrogance, etc etc. Mais on n'en restera pas à cette critique. Ce petit livre confrontera tout: Blancs / Métis /Indiens; policiers / militaires ; femmes / hommes....
Le charme de cette lecture éclair? Les personnages savoureux, les réflexions souvent loufoques de ceux-ci, leurs passions aussi et les descriptions de certains paysages péruviens. Malgré sa noirceur, un court roman quelque peu burlesque mais tellement révélateur du Pérou d'une certaine époque.
Thème récurrent chez Mario Vargas Llosa, s'il en est, celui de la critique de la vie militaire, de sa culture et de son mode de fonctionnement . Un peu comme dans "La ville et les chiens" (premier roman de Vargas Llosa), ici aussi on critiquera les valeurs prônées chez les militaires: agressivité, arrogance, etc etc. Mais on n'en restera pas à cette critique. Ce petit livre confrontera tout: Blancs / Métis /Indiens; policiers / militaires ; femmes / hommes....
Le charme de cette lecture éclair? Les personnages savoureux, les réflexions souvent loufoques de ceux-ci, leurs passions aussi et les descriptions de certains paysages péruviens. Malgré sa noirceur, un court roman quelque peu burlesque mais tellement révélateur du Pérou d'une certaine époque.
