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Critique de Philemont
Entre Paris, Londres et la Serbie, l'horrible meurtre d'un homme seul en région parisienne a apparemment des ramifications aussi mystérieuses qu'improbables. Ce sont des pieds coupés à des cadavres dans leurs chaussures côté britannique, un corps littéralement haché côté français, et une dynastie de vampires côté serbe. Et au milieu de tout cela le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg se voit à nouveau confronté à des démons personnels qui pourraient bien le faire chuter.
On connaît bien maintenant le couple VARGAS-Adamsberg. On connaît les ingrédients de la recette qui fait souvent mouche ; on connaît aussi les ficelles de l'auteure. Un lieu incertain ne fait pas exception, même si cette fois-ci l'intrigue tombe quelque peu à plat, à cause de l'improbabilité de certaines situations justement. On peut alors se dire que le couple s'essouffle. Ce serait toutefois oublier que le roman demeure un divertissement qu'il est bien difficile de lâcher une fois entamé. Ce n'est déjà pas si mal.
On connaît bien maintenant le couple VARGAS-Adamsberg. On connaît les ingrédients de la recette qui fait souvent mouche ; on connaît aussi les ficelles de l'auteure. Un lieu incertain ne fait pas exception, même si cette fois-ci l'intrigue tombe quelque peu à plat, à cause de l'improbabilité de certaines situations justement. On peut alors se dire que le couple s'essouffle. Ce serait toutefois oublier que le roman demeure un divertissement qu'il est bien difficile de lâcher une fois entamé. Ce n'est déjà pas si mal.
