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Critique de migdal
En décembre 1939, Pierre VARILLON a le privilège d'embarquer comme correspondant de guerre sur le SIROCO, torpilleur qui venait le 20 novembre de lutter victorieusement contre un sous-marin allemand. Il accompagne vers Casablanca un convoi, puis quelques jours plus tard il effectue le trajet retour dans une mer hivernale, constamment sous la menace des U-boots. L'auteur partage la vie de l'équipage du SIROCO et se lie d'amitié avec certains d'entre eux.
En mai 1940, le SIROCO est engagé en Mer du Nord et participe aux opérations de sauvetage de l'armée britannique…
Le Mémorial des marins morts pour la France précise « Coulé en sortant de Dunkerque le 31 mai 1940, le Siroco qui avait embarqué 750 soldats à Dunkerque fut atteint à la poupe par deux torpilles de la S-23 schnell-boat du lt Christiansen. Immobilisé, hélices arrachées, les cloisons étanches tenant, le cdt De Toulouse-Lautrec demanda un remorqueur. Un Stuka acheva le Siroco d'une bombe sur le pont et une autre dans une soute à munitions. le bâtiment chavira aussitôt. Précipités à la mer les survivants nageaient dans le mazout quand arrivèrent le Widgeon, anglais, le contre-torpilleur Blyskavica, polonais et le paquebot Royal Sovereign qui recueillirent 270 survivants sur 930 soldats et marins. »
La Glorieuse histoire du « Siroco » introduit «Marins au combat », recueil des principaux ouvrages de Pierre VARILLON consacrés à la seconde guerre mondiale. Chapitre le plus émouvant puisque l'écrivain connait une grande partie de ces héros. Bel hommage, formulé en une écriture magnifique, qui surpasse évidemment tout roman de fiction et n'a pas pris une ride en quatre vingt ans.
En mai 1940, le SIROCO est engagé en Mer du Nord et participe aux opérations de sauvetage de l'armée britannique…
Le Mémorial des marins morts pour la France précise « Coulé en sortant de Dunkerque le 31 mai 1940, le Siroco qui avait embarqué 750 soldats à Dunkerque fut atteint à la poupe par deux torpilles de la S-23 schnell-boat du lt Christiansen. Immobilisé, hélices arrachées, les cloisons étanches tenant, le cdt De Toulouse-Lautrec demanda un remorqueur. Un Stuka acheva le Siroco d'une bombe sur le pont et une autre dans une soute à munitions. le bâtiment chavira aussitôt. Précipités à la mer les survivants nageaient dans le mazout quand arrivèrent le Widgeon, anglais, le contre-torpilleur Blyskavica, polonais et le paquebot Royal Sovereign qui recueillirent 270 survivants sur 930 soldats et marins. »
La Glorieuse histoire du « Siroco » introduit «Marins au combat », recueil des principaux ouvrages de Pierre VARILLON consacrés à la seconde guerre mondiale. Chapitre le plus émouvant puisque l'écrivain connait une grande partie de ces héros. Bel hommage, formulé en une écriture magnifique, qui surpasse évidemment tout roman de fiction et n'a pas pris une ride en quatre vingt ans.
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