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Critique de Shork
Une page s'est tournée après la disparition de l'Umo à Batna et la catastrophe de Tricastin. La journaliste Halfort se cache avec son bébé marqué par l'Umo. Ismaël, le caïd tourmenté, est resté en Algérie, pour influencer le nouveau pouvoir algérien, alors que “Dieu le père”, le patron Legoff, le tient sous sa coupe en détenant son père. Mais tous les signes annonciateurs de la réapparition de l'Umo reprennent en France… le dernier Atlas, le Sand, va devoir sortir au plus vite de son chantier de réparation pour repartir pour une dernière mission.
Voici donc le troisième et dernier volet de cette série marquante, véritable thriller politico-policier sur fond de passé franco-algérien uchronique. Je dois juste reconnaître avoir été un peu moins emballé par ce dernier tome que par les deux premiers. Si j'ai apprécié la vraie conclusion et les explications, j'ai été un peu perdu par le personnage de Legoff et les dernières scènes d'action. Mais j'aurai vraiment été happé par cet ovni bédéiste aux trouvailles excellentes. Des personnages complexes, une trame riche, et un dessin qui se prête bien à l'action et aux bizarreries de l'Umo.
Voici donc le troisième et dernier volet de cette série marquante, véritable thriller politico-policier sur fond de passé franco-algérien uchronique. Je dois juste reconnaître avoir été un peu moins emballé par ce dernier tome que par les deux premiers. Si j'ai apprécié la vraie conclusion et les explications, j'ai été un peu perdu par le personnage de Legoff et les dernières scènes d'action. Mais j'aurai vraiment été happé par cet ovni bédéiste aux trouvailles excellentes. Des personnages complexes, une trame riche, et un dessin qui se prête bien à l'action et aux bizarreries de l'Umo.
