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Critique de Viracocha
Alors, je crois que j'ai découvert le roman de Patrick Vendruscolo via les réseaux sociaux, il avait besoin d'un coup de pouce, je lui en ai donné un et son livre a fini par arriver dans ma boîte aux lettres.
Bon, ayant fumé du cannabis pendant une partie de ma vie, ce qui semble être l'un des thèmes principaux du livre ne m'a pas rebuté, forcément, et je suis plutôt ouvert d'esprit. Mais ce n'est pas un livre sur le cannabis, c'est le livre d'un homme qui parle à coeur ouvert, avec une grande sincérité, ce qui se traduit par le style de langage, certes familier, mais intimiste, qui donne l'impression que l'on se trouve dans le salon de l'auteur. On l'imagine avec un verre à moitié vide dans sa main, un joint ou une cigarette qui se consume dans son cendrier, mais qu'il surveille de près je vous rassure.
Enfance, pérégrinations au Maroc, rapport à la drogue, au monde du travail, vie sentimentale, avec une plume qui va droit à l'essentiel, Patrick expose ses principales sources de joie et de peine durant sa vie, il évoque sans détour ses bons choix, ses mauvaises décisions, ses forces et ses faiblesses. Ce livre se lit un peu comme un bilan, il se lit vite, je pense que l'auteur aurait pu ajouter d'autres anecdotes mais il s'est concentré visiblement sur l'essentiel.
Le côté auto-biographique rend la lecture assez immersive, en particulier toute la partie au Maroc que je trouve plus détaillée, et fait que le livre se lit assez vite et rapidement. D'ailleurs, c'est à noter, mais je ne me souviens pas avoir remarqué une seule coquille, chose plutôt rare. Tout comme l'authenticité qui transparaît derrière ces lignes.
Bon, ayant fumé du cannabis pendant une partie de ma vie, ce qui semble être l'un des thèmes principaux du livre ne m'a pas rebuté, forcément, et je suis plutôt ouvert d'esprit. Mais ce n'est pas un livre sur le cannabis, c'est le livre d'un homme qui parle à coeur ouvert, avec une grande sincérité, ce qui se traduit par le style de langage, certes familier, mais intimiste, qui donne l'impression que l'on se trouve dans le salon de l'auteur. On l'imagine avec un verre à moitié vide dans sa main, un joint ou une cigarette qui se consume dans son cendrier, mais qu'il surveille de près je vous rassure.
Enfance, pérégrinations au Maroc, rapport à la drogue, au monde du travail, vie sentimentale, avec une plume qui va droit à l'essentiel, Patrick expose ses principales sources de joie et de peine durant sa vie, il évoque sans détour ses bons choix, ses mauvaises décisions, ses forces et ses faiblesses. Ce livre se lit un peu comme un bilan, il se lit vite, je pense que l'auteur aurait pu ajouter d'autres anecdotes mais il s'est concentré visiblement sur l'essentiel.
Le côté auto-biographique rend la lecture assez immersive, en particulier toute la partie au Maroc que je trouve plus détaillée, et fait que le livre se lit assez vite et rapidement. D'ailleurs, c'est à noter, mais je ne me souviens pas avoir remarqué une seule coquille, chose plutôt rare. Tout comme l'authenticité qui transparaît derrière ces lignes.
