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Critique de encore_un_chapitre_et_dodo
Après avoir dévoré le premier tome, je n'avais pas d'autres choix que de me lancer dans la suite.
Dans ce tome 2, l'histoire reprend exactement là où nous l'avons laissée à la fin du 1. Pas de répit, ni pour les personnages, ni pour le lecteur. On replonge directement dans cette ambiance volcanique où tout est en train de péter à la gueule de tout le monde.
Bien qu'il se passe un peu moins de chose dans la première partie du livre, on sent bien que l'échiquier est en train de se mettre en place.
Et on a la « joie » (les guillemets sont, ici, extrêmement importants) de faire la rencontre du plus horrible, HORRIBLE, personnage qui soit. Au cours de mes lectures, je n'en ai jamais rencontré qui me fichent autant la chair de poule par sa dépravation.
Les intrigues vont bon train, les quêtes personnelles de chacun aussi.
Trinity poursuit son objectif (la vengeance, rappelez-vous) allant joyeusement de Charybde en Scylla sans se préoccuper une seule fois d'elle-même, Scar exécute ses ordres.
La relation qui s'instaure entre eux s'établit paisiblement. Et le coup du café ? C'est, finalement, ce qui me les a rendus tous les deux attachants (ça parle d'autant plus à la dépendante à la caféine que je suis). C'est la (petite) touche de mignonnerie (qui ne sera jamais perçue comme telle par les protagonistes).
Pourtant, dans le monde des bikers, l'horreur n'est jamais bien loin mais elle est compensée par cette famille reconstituée de toute pièce, qui accepte sans tiquer les travers et le monstre en chacun de ses membres.
La plume est toujours aussi efficace, crédible sans tomber dans le gore ; les descriptions sont justes, sans exagération sensationnelle.
Dans ce tome 2, l'histoire reprend exactement là où nous l'avons laissée à la fin du 1. Pas de répit, ni pour les personnages, ni pour le lecteur. On replonge directement dans cette ambiance volcanique où tout est en train de péter à la gueule de tout le monde.
Bien qu'il se passe un peu moins de chose dans la première partie du livre, on sent bien que l'échiquier est en train de se mettre en place.
Et on a la « joie » (les guillemets sont, ici, extrêmement importants) de faire la rencontre du plus horrible, HORRIBLE, personnage qui soit. Au cours de mes lectures, je n'en ai jamais rencontré qui me fichent autant la chair de poule par sa dépravation.
Les intrigues vont bon train, les quêtes personnelles de chacun aussi.
Trinity poursuit son objectif (la vengeance, rappelez-vous) allant joyeusement de Charybde en Scylla sans se préoccuper une seule fois d'elle-même, Scar exécute ses ordres.
La relation qui s'instaure entre eux s'établit paisiblement. Et le coup du café ? C'est, finalement, ce qui me les a rendus tous les deux attachants (ça parle d'autant plus à la dépendante à la caféine que je suis). C'est la (petite) touche de mignonnerie (qui ne sera jamais perçue comme telle par les protagonistes).
Pourtant, dans le monde des bikers, l'horreur n'est jamais bien loin mais elle est compensée par cette famille reconstituée de toute pièce, qui accepte sans tiquer les travers et le monstre en chacun de ses membres.
La plume est toujours aussi efficace, crédible sans tomber dans le gore ; les descriptions sont justes, sans exagération sensationnelle.
