Ma mère a peut-être raison. Peut-être que G.I. Jo n’est en fait qu’un petit oiseau blessé qui se protège en envoyant chier tout le monde. Depuis que nous sommes ici, j’ai entraperçu d’autres facettes de sa personnalité. Elle peut être douce quand elle parle à son grand-père, fragile quand elle encaisse sans broncher l’attitude de Michelle, ou déterminée lorsqu’elle se décide à l’affronter. Joséphine est plus complexe qu’il n’y paraît… Toute cette arrogance, cette méchanceté ne serait en réalité qu’une façade ?