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Critique de MonsieurHyacinthe
10 histoires façonnent cet album, d'un noir et blanc soigné. Bernard Lermite a le sang chaud, toujours prêt à courir le guilledou, que ce soit auprès des veuves, des hôtesses de l'air, des autochtones, des femmes mariées, des mères récentes, des filles au pair, bref, toute partisane de la gent féminine. Tout ça dans un questionnement existentialiste permanent.
Quel ton ! L'humour de Martin Veyron est vraiment inattendu. Les conversations prennent chaque fois un tour curieux et pourtant crédible. On se plaît à attendre les confrontations verbales entre deux personnages, tant Veyron a le chic pour nous surprendre par une diatribe hors contexte, mais qui colle. le tout dans de multiples tours du monde.
Avec intelligence, le trait léger, l'esprit positif, une grosse dose de sexisme, des sujets de fond en filigrane, des absurdités et des détails à foison en arrière plan, la patte de cet auteur s'avère fichtrement atypique et jubilatoire. Bien heureux qui s'y laisse bercer...
Quel ton ! L'humour de Martin Veyron est vraiment inattendu. Les conversations prennent chaque fois un tour curieux et pourtant crédible. On se plaît à attendre les confrontations verbales entre deux personnages, tant Veyron a le chic pour nous surprendre par une diatribe hors contexte, mais qui colle. le tout dans de multiples tours du monde.
Avec intelligence, le trait léger, l'esprit positif, une grosse dose de sexisme, des sujets de fond en filigrane, des absurdités et des détails à foison en arrière plan, la patte de cet auteur s'avère fichtrement atypique et jubilatoire. Bien heureux qui s'y laisse bercer...
