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Critique de laurentgenier
Pour une fois, je vais mettre une note malhonnête à un livre honnête.
Lecture étrange, j'ai dévoré la première moitié du bouquin d'une traite. J'ai dévoré la seconde moitié d'une traite. Je me suis beaucoup questionné : est-ce trop beau pour être vrai ? A quel point c'est romancé ? Je me suis demandé s'il y avait un objectif à attendrir le lecteur, à chercher à adoucir ceux qui, encore et encore, ont une hargne contre Edmond Vidal. Alors j'ai douté de ce que j'ai lu.
Et j'ai finalement opté pour la véracité de ce qui est décrit, tout en restant lucide sur le fait que ce sont des souvenirs teintés d'émotion et ce ne sont que des perceptions. Pour autant, j'ai fini, à l'instar des jurés en 1977, à trouver une crédibilité grâce à la cohérence des dires et à celle de l'état d'esprit. Probablement qu'une rencontre physique serait davantage à même de corroborer mon sentiment, quoique. Bref.
Ce que j'en retiens : c'est captivant, empreint de principes que j'apprécie, je ne me suis pas ennuyé une seconde durant la lecture, davantage attiré par l'envie de continuer que d'arrêter. Mais ce doute m'a écorché une partie du plaisir. Alors plutôt que d'imaginer noter ce livre comme ceux qui ont totalement et aveuglément emporté mon adhésion, j'ai préféré légèrement le sous-coter.
En conclusion, une lecture colorée et vécue à l'aune de mes principes et valeurs. C'est peut être d'ailleurs le reflet de ce qu'a vécu Momon. Si ça se trouve, ce livre permet de capter quelques bribes des particularités, forcément incomprises, donc souvent rabrouées, du personnage principal. Et bien voilà, c'est ce que j'ai ressenti. En tout cas, c'est un livre que je recommanderai aux amateurs d'histoires de vie, celle-là vaut, selon mon point de vue partial, le coup d'oeil.
Lecture étrange, j'ai dévoré la première moitié du bouquin d'une traite. J'ai dévoré la seconde moitié d'une traite. Je me suis beaucoup questionné : est-ce trop beau pour être vrai ? A quel point c'est romancé ? Je me suis demandé s'il y avait un objectif à attendrir le lecteur, à chercher à adoucir ceux qui, encore et encore, ont une hargne contre Edmond Vidal. Alors j'ai douté de ce que j'ai lu.
Et j'ai finalement opté pour la véracité de ce qui est décrit, tout en restant lucide sur le fait que ce sont des souvenirs teintés d'émotion et ce ne sont que des perceptions. Pour autant, j'ai fini, à l'instar des jurés en 1977, à trouver une crédibilité grâce à la cohérence des dires et à celle de l'état d'esprit. Probablement qu'une rencontre physique serait davantage à même de corroborer mon sentiment, quoique. Bref.
Ce que j'en retiens : c'est captivant, empreint de principes que j'apprécie, je ne me suis pas ennuyé une seconde durant la lecture, davantage attiré par l'envie de continuer que d'arrêter. Mais ce doute m'a écorché une partie du plaisir. Alors plutôt que d'imaginer noter ce livre comme ceux qui ont totalement et aveuglément emporté mon adhésion, j'ai préféré légèrement le sous-coter.
En conclusion, une lecture colorée et vécue à l'aune de mes principes et valeurs. C'est peut être d'ailleurs le reflet de ce qu'a vécu Momon. Si ça se trouve, ce livre permet de capter quelques bribes des particularités, forcément incomprises, donc souvent rabrouées, du personnage principal. Et bien voilà, c'est ce que j'ai ressenti. En tout cas, c'est un livre que je recommanderai aux amateurs d'histoires de vie, celle-là vaut, selon mon point de vue partial, le coup d'oeil.
