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Critique de momotombo
Le drame vécu par le couple Vigand nous est narré à deux voix :
- lui, victime du syndrome de locked-in qui après avoir été contraint au silence, développe un système de communication par les paupières puis grâce à un développement informatique se livre à l'écriture.
- elle, qui doit gérer cette situation terrible, d'abord d'incertitude puis de deuil sur le retour à une vie de famille "normalisée".
Le récit est bien sûr poignant mais il transmet une sensation parfois déplaisante : fatalisme méprisant à l'égard d'un homme diminué, compensations décomplexées en mode bourgeoisie de Neuilly....
Bref, je suis très mitigé car il y a une dimension matérielle dans ce récit qui vient occulter la dimension psychologique dont j' attendais plus.
- lui, victime du syndrome de locked-in qui après avoir été contraint au silence, développe un système de communication par les paupières puis grâce à un développement informatique se livre à l'écriture.
- elle, qui doit gérer cette situation terrible, d'abord d'incertitude puis de deuil sur le retour à une vie de famille "normalisée".
Le récit est bien sûr poignant mais il transmet une sensation parfois déplaisante : fatalisme méprisant à l'égard d'un homme diminué, compensations décomplexées en mode bourgeoisie de Neuilly....
Bref, je suis très mitigé car il y a une dimension matérielle dans ce récit qui vient occulter la dimension psychologique dont j' attendais plus.
