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Critique de Chrystaalle
J'ai lu pas mal de livre de cet auteur, et c'est le premier qui me laisse aussi perplexe.
A Moutiers, en Vendée, Marie, veuve se dévoue pour sa paroisse et soutient des jeunes en difficultés et les aident à construire leur projet de vie.
Son fils, Simon, revient fracassé d'un séjour humanitaire à Haïti. Incapable se remettre de la violence qu'il a vu là bas et du sentiment d'impuissance qui l'a envahit, il tente de se suicider en se jetant dans les escaliers. Blessé,il se relève paraplégique, refusant ce diagnostic, il se bat à corps perdu pour retrouver sa mobilité.
Marie se met alors à douter, elle quitte sa paroisse, se sent perdue, mais entourée par ses amis et par son fils qui renait littéralement, elle retrouve la foi et construit elle aussi son projet de vie.
Là où le bas blesse, pour moi c'est que j'ai juste envie de dire "Ouais.Bon bah d'accord".
Il manque à ce livre quelque chose pour dépasser la narration d'une histoire.Les personnages sont lointains, pas attachants. Marie m'a ennuyée et Simon profondément agacée. Si on peut admettre la supériorité du mental sur le corps et entendre la critique du système médical qui condamne d'avance les personnes paraplégiques au fauteuil, il y a probablement peu de personnes capables comme Simon de transcender une condamnation médicale et de remarcher, uniquement à force de volonté.
A Moutiers, en Vendée, Marie, veuve se dévoue pour sa paroisse et soutient des jeunes en difficultés et les aident à construire leur projet de vie.
Son fils, Simon, revient fracassé d'un séjour humanitaire à Haïti. Incapable se remettre de la violence qu'il a vu là bas et du sentiment d'impuissance qui l'a envahit, il tente de se suicider en se jetant dans les escaliers. Blessé,il se relève paraplégique, refusant ce diagnostic, il se bat à corps perdu pour retrouver sa mobilité.
Marie se met alors à douter, elle quitte sa paroisse, se sent perdue, mais entourée par ses amis et par son fils qui renait littéralement, elle retrouve la foi et construit elle aussi son projet de vie.
Là où le bas blesse, pour moi c'est que j'ai juste envie de dire "Ouais.Bon bah d'accord".
Il manque à ce livre quelque chose pour dépasser la narration d'une histoire.Les personnages sont lointains, pas attachants. Marie m'a ennuyée et Simon profondément agacée. Si on peut admettre la supériorité du mental sur le corps et entendre la critique du système médical qui condamne d'avance les personnes paraplégiques au fauteuil, il y a probablement peu de personnes capables comme Simon de transcender une condamnation médicale et de remarcher, uniquement à force de volonté.
