Longs poèmes de
Virgile faisant l'éloge de l'agriculture et le retour à une vie simple et champêtre sous l'instigation de son éponyme Mécène. J'y ai trouvé une puissance dans l'évocation des gestes quotidiens du paysan, des paysages évoluant au gré des saisons mais aussi un doux bercement à lecture à mi-voix de ces vers on ne peut plus classiques (hexamètres dactyliques pour les initiés …). Je suis encore étonné de trouver cette pureté esthétique même dans la traduction en français. Assurément j'irai un jour me plonger dans son Eneide !
Commenter  J’apprécie         80