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Critique de Tandarica
Au gré du hasard de mes lectures, ma millième critique ne concerne pas la littérature roumaine, mais un livre auto-édité qui mérite très clairement d'être lu.
Un livre qui se lit vite et qui tient le lecteur en haleine malgré un sujet très grave, l'enlèvement d'enfants.
Je ne regrette pas du tout cette lecture que, je l'avoue sans détour, j'ai redoutée au début.
Le rythme est alerte, des chapitres sont courts et les personnages bien campés, malgré la concision du style qui, force est de le reconnaître, réussit à suggérer plus qu'à nommer. En filigrane des interrogations sur ce qui fait l'humanité : à la fois la nature humaine et ce sentiment de bienveillance, de compassion envers autrui. Il y a des passages difficiles, car la douleur de la perte d'un enfant est indicible et suscite une colère bien compréhensible.
Le mot de la fin et sa résonance lénitive, appartiennent à la policière :
« Seule l'odeur des cheveux de sa fille avait le pouvoir de la réconcilier avec l'humanité toute entière en cet instant présent. »
Un livre qui se lit vite et qui tient le lecteur en haleine malgré un sujet très grave, l'enlèvement d'enfants.
Je ne regrette pas du tout cette lecture que, je l'avoue sans détour, j'ai redoutée au début.
Le rythme est alerte, des chapitres sont courts et les personnages bien campés, malgré la concision du style qui, force est de le reconnaître, réussit à suggérer plus qu'à nommer. En filigrane des interrogations sur ce qui fait l'humanité : à la fois la nature humaine et ce sentiment de bienveillance, de compassion envers autrui. Il y a des passages difficiles, car la douleur de la perte d'un enfant est indicible et suscite une colère bien compréhensible.
Le mot de la fin et sa résonance lénitive, appartiennent à la policière :
« Seule l'odeur des cheveux de sa fille avait le pouvoir de la réconcilier avec l'humanité toute entière en cet instant présent. »
