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Critique de bilodoh
À l'ordre du jour, un point de vue différent sur la Seconde Guerre mondiale.
La Guerre, on connaît. On a vu beaucoup de photos et de films. Mais beaucoup de ces films n'ont-ils pas été tournés par le ministère de la propagande nazie? le simple recadrage d'une photo ne peut-il pas changer le sens d'une image?…
Le récit commence par une réunion de chefs grandes entreprises allemandes. Une rencontre qui a un but bien précis, une collecte de fonds du parti national-socialiste. Bien sûr, on va contribuer. On dit que les entreprises sont des « personnes morales », mais on pourrait dire plutôt qu'elles sont « amorales ».
L'étape suivante, c'est l'annexion de l'Autriche, qui se voulait une guerre éclair, un « blitzkrieg » imparable, avec les molles réactions des dirigeants des autres pays. L'auteur décrit les tristes personnalités des Goering, Ribbentrop et autres et dévoile des détails des échanges. Il révèle les bluffs et les absurdités des affrontements.
Une écriture recherchée, un livre assez court, à peine plus de 150 pages, mais une lecture qui peut changer un peu l'image qu'on se fait du début de la Grande Guerre.
(Faut-il voir un parallèle avec le conflit actuel? On peut se demander si Poutine ne tentait pas de faire aussi « l'Anschluss » de l'Ukraine…)
La Guerre, on connaît. On a vu beaucoup de photos et de films. Mais beaucoup de ces films n'ont-ils pas été tournés par le ministère de la propagande nazie? le simple recadrage d'une photo ne peut-il pas changer le sens d'une image?…
Le récit commence par une réunion de chefs grandes entreprises allemandes. Une rencontre qui a un but bien précis, une collecte de fonds du parti national-socialiste. Bien sûr, on va contribuer. On dit que les entreprises sont des « personnes morales », mais on pourrait dire plutôt qu'elles sont « amorales ».
L'étape suivante, c'est l'annexion de l'Autriche, qui se voulait une guerre éclair, un « blitzkrieg » imparable, avec les molles réactions des dirigeants des autres pays. L'auteur décrit les tristes personnalités des Goering, Ribbentrop et autres et dévoile des détails des échanges. Il révèle les bluffs et les absurdités des affrontements.
Une écriture recherchée, un livre assez court, à peine plus de 150 pages, mais une lecture qui peut changer un peu l'image qu'on se fait du début de la Grande Guerre.
(Faut-il voir un parallèle avec le conflit actuel? On peut se demander si Poutine ne tentait pas de faire aussi « l'Anschluss » de l'Ukraine…)
