Un texte court mais incisif.
On plane entre poésie, récit et fiction, survolant cet amoncellement de squelettes, pour devoir de mémoire. Parce que l'écriture doit permettre cela
pour raconter et faire vivre les horreurs subies.
Car elle n'a pas toujours servie la cause juste, ici, A.A Waberi redonne à l'immense talent des conteur africains, leur digne place et leur rôle immense lorsqu'il s'agit de contrer la pensé immonde qui voudrait que ce ne soit pas important lorsqu'il s'agit de l'Afrique.
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