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Critique de Graloup


L'auteur a travaillé, avant de se consacrer entièrement à l'écriture, dans la police d'investigation. le meilleur de son roman, ce sont les interrogatoires au cours desquels l'inspecteur Harry Harker "cuisine" le suspect et le témoin, à la limite de la légalité, comme il l'affirme. La fin est bâclée: Wainwright a recours aux vieilles ficelles psychanalytiques très en vogue dans l'Amérique contemporaine: l'impuissance, les tendances homosexuelles du suspect; et cerise sur le gâteau, on apprend en deux ou trois phrases que son fils n'est pas son fils...Sa femme a sans doute eu une liaison - Ouais!
J'ai été très agacé par ce procédé d'écriture qu'il emploie fréquemment: quand il veut enfoncer le clou et être sûr que le lecteur- peut-être débile - l'a bien compris, il met des mots en italique (ici, ceux en majuscules:):
"Les gosses avaient-ils TOUJOURS été des monstres miniatures? S'étaient-ils TOUJOURS nourris exclusivement de musique pop et de bandes dessinées?... A l'époque on les DRESSAIT comme des animaux sauvages etc."
J'ai accordé une étoile et demie car , dans sa jeunesse, le couple Duxbury aimait le pianiste de jazz Fats Waller.
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