Calvin a six ans.
Il aime : Hobbes, son doudou. Ah non, pardon, son meilleur compagnon de jeu, un tigre sympa, patient, fair-play. Le copain idéal, qui ne peut exister que dans l'imaginaire...
Il n'aime pas : l'école et les devoirs, les bains, le dimanche, ranger sa chambre, aller se coucher, se lever tôt. Et il n'est jamais à court d'idées quand il s'agit de ne pas obéir : mauvaise foi, sens de la repartie, feinte, procrastination. Ça rend les parents dingues, surtout la maman.
Calvin cogite comme n'importe quel enfant sur son quotidien de petit garçon, mais il philosophe comme un adulte sur la société, la politique, les médias - donc quid du lectorat visé ?
Ce n° 23 est le premier album 'Calvin & Hobbes' que je lis, mais le tout dernier opus de la série (le tome 24 ne rassemble que des inédits). Je ne connaissais que quelques planches avec les bonhommes de neige, des pépites d'humour noir.
Déception à la lecture de cet album dont les situations et les reparties m'ont rappelé Pico Bogue (Roques & Dormal), Nathalie (Salma) et surtout la pionnière, l'adorable et indétrônable petite Argentine : Mafalda (Quino)...
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