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Critique de levri


Depuis le tome douze le conflit avec la Ligue solarienne s'envenime, les "mandarins" totalement irresponsables multiplient les agressions alors qu'à chaque fois ils sont écrasés par les flottes alliées, mais dans leurs tour d'ivoire peu leur chaut ces millions de victimes dans leur flotte. Jusqu'ici Manticore s'est contenté de se défendre et a juste pris des mesures économiques en représailles, mais l'escalade et les risques de génocide risquent de changer la donne, d'autant qu'en arrière plan l'Alignement mesan continue d'envenimer secrètement le conflit …


Les "mandarins" sont de plus en plus bêtes et méchants, dans leur fuite en avant pour essayer de noyer le poisson il n'hésitent pas à lancer "Boucanier", une opération de destruction massive où les dégâts humains collatéraux sont planifiés, une opération sensée glacer de terreur les mondes qui penseraient quitter la Ligue.
Comme d'habitude les actions périphériques se multiplient comme les personnages et nous allons voyager pour suivre les méandres de l'action, la Terre avec sa politique et sa flotte, mais aussi ses mesans infiltrés et quelques rares personnes qui se demandent si Manticore n'aurait pas raison et commencent à enquêter - les aller et retours se multiplient entre la Terre, Manticore, Havre, et Beowulf, l'allié de toujours qui quitte la Ligue, alors qu'à la base secrète de Darius les Deweiler qui dirigent l'Alignement mesan continuent de comploter et à développer leur technique militaire.
Les solariens commencent à réaliser qu'ils ne font pas le poids face aux alliés - ils ont mis le temps - leur campagne de terreur est prévue sur des mondes ne disposant pas de moyen de défense, mais de temps en temps ils croisent quelques vaisseaux Manticoriens, une occasion pour l'auteur de nous offrir quelques morceaux de bravoure.


Presque 600 pages s'étalant sur trois mois … sans que l'histoire avance vraiment, mais nous avons pris l'habitude depuis quelques tomes, et puis à chaque nouveau tome de cette série c'est un peu comme lorsqu'on met un vieux pull bien usé et confortable, on se laisse aller en s'immergeant et on lit facilement le livre d'une traite, au détriment souvent des heures de sommeil pour moi - ce quatorze tome clôturant la série est heureusement supérieur au précédent …
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