La grande bourgeoisie américaine, ses apparences, ses faux-semblants, son hypocrisie, sa hiérarchie, son corsetage... Ce monde là me paraît à des années lumières ! Et il l'est d'une certaine manière.
J'avais de la peine pour Newland, Ellen et May, victimes à leur manière, de ce carcan qui régit leur vie. Victimes et bourreaux, tout à la fois.
J'ai mis du temps à entrer dans ce roman, vraiment. Je restais extérieure. Mais j'ai appris à m'attacher à ses personnages, à ce monde, à cette importance des conséquences que prennent, ou que pourraient avoir leurs actes, leurs élans du coeur.
La fin est mitigée pour moi, entre vision d'espoir, déception et beauté. Donc une belle fin finalement.
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