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Critique de cannibalector
J'aime, à la bibliothèque, emprunter des polars au hasard, sans lire la quatrième de couverture et sans connaitre l'auteur.
J'ai lu ainsi quelques pépites mais je dois bien avouer que je suis devenu un spécialiste de la culture du navet.
L'histoire était pourtant alléchante: 2 frères ont perdu leur soeur violée et assassinée, le prédateur n'a jamais été retrouvé. Chacun gère sa douleur comme il le peut: l'un est devenu flic et n' pas renoncé à découvrir le coupable, l'autre s'est réfugié dans la réussite sociale et est devenu un grand avocat.Ce dernier défend un homme suspecté d'avoir tue sa femme et son gosse.
Style accablant, traduction litigieuse, suspens inexistant, aucune densité psychologique et intrigue trés mal fagoté. Bref: un navet mais les anglais n'ont pas le pot au feu pour aller avec.
La seule chose qui me plait quand je lis ce genre de truc, c'est que je pense pouvoir atteindre ce niveau et cela me motive dans l'écriture de mon polar
J'ai lu ainsi quelques pépites mais je dois bien avouer que je suis devenu un spécialiste de la culture du navet.
L'histoire était pourtant alléchante: 2 frères ont perdu leur soeur violée et assassinée, le prédateur n'a jamais été retrouvé. Chacun gère sa douleur comme il le peut: l'un est devenu flic et n' pas renoncé à découvrir le coupable, l'autre s'est réfugié dans la réussite sociale et est devenu un grand avocat.Ce dernier défend un homme suspecté d'avoir tue sa femme et son gosse.
Style accablant, traduction litigieuse, suspens inexistant, aucune densité psychologique et intrigue trés mal fagoté. Bref: un navet mais les anglais n'ont pas le pot au feu pour aller avec.
La seule chose qui me plait quand je lis ce genre de truc, c'est que je pense pouvoir atteindre ce niveau et cela me motive dans l'écriture de mon polar
