La langue est trop riche et ne met pas suffisamment en évidence les relations entre les choses. Whitehead et Russell entreprennent de proposer un langage mathématique pour décrire le monde. C'est un peu naïf et ne résoud pas la question qu'ils pensaient avoir éludée en choisissant des caractères mathématiques plutôt que des mots : comment évaluer la vérité de ce qui dénote le réel ?
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